Le Premier ministre libanais, Nawaf Salam, s’exprimant depuis le palais présidentiel de Baabda, le 14 janvier 2025. Mohammad Yassine/L’Orient-Le Jour
Lundi, le gouvernement libanais dirigé par le Premier ministre Nawaf Salam a marqué ses 100 premiers jours. Formé le 8 février, environ un mois après l’élection du président Joseph Aoun, ce cabinet a vu le jour alors que le Liban est confronté à des défis majeurs : le pays essaie de se remettre d’une guerre dévastatrice de plus de 13 mois entre le Hezbollah et Israël et n’arrive toujours pas à mettre un terme à la crise socio-économique qui a débuté en 2019. Soutenu par une partie considérable de la population libanaise et par la communauté internationale, et profitant d’une influence limitée du Hezbollah et de ses alliés en son sein, contrairement aux gouvernements précédents, le cabinet Salam a déjà adopté en peu de temps des réformes attendues de longue date. En outre, des progrès ont été accomplis dans le démantèlement des...
Lundi, le gouvernement libanais dirigé par le Premier ministre Nawaf Salam a marqué ses 100 premiers jours. Formé le 8 février, environ un mois après l’élection du président Joseph Aoun, ce cabinet a vu le jour alors que le Liban est confronté à des défis majeurs : le pays essaie de se remettre d’une guerre dévastatrice de plus de 13 mois entre le Hezbollah et Israël et n’arrive toujours pas à mettre un terme à la crise socio-économique qui a débuté en 2019. Soutenu par une partie considérable de la population libanaise et par la communauté internationale, et profitant d’une influence limitée du Hezbollah et de ses alliés en son sein, contrairement aux gouvernements précédents, le cabinet Salam a déjà adopté en peu de temps des réformes attendues de longue date. En outre, des progrès ont été...
Le gouvernement Salam mais aussi le président de la République n'ont absolument rien accompli en 100 jours. Ils ont bien voyagé, ont soit disant l'appui du monde entier mais toujours aucun investisseur. Les pays du golf ont lâché 3600 milliards de dollars aux u.s sans contre-partie. Quel gâchis. Et pour le Liban nada. La nomination du gouverneur de la bdl n'est pas encourageante. Pas une réforme ou décision sérieuse en interne et pourtant il y en a certaines,faciles à prendre, qui permettrait d'effectuer un bon en avant.
07 h 48, le 22 mai 2025