Le bâtiment de la municipalité de Beyrouth, au centre-ville. Photo d’archives Anwar Amro/AFP
Après le Mont-Liban, le Nord et le Akkar, les électeurs des gouvernorats (mohafazats) de Beyrouth, de la Békaa et de Baalbeck-Hermel doivent élire dimanche 18 mai leurs moukhtars et conseils municipaux. Plus d’un million d’électeurs sont concernés par ce troisième (et plus grand) tour de vote. Dans la plupart des cas, la compétition est dictée par des considérations strictement locales. Toutefois, la politique prend parfois le dessus, notamment dans les grandes villes et dans le contexte actuel de polarisation accrue autour du Hezbollah et de ses armes. C’est d’autant plus le cas à Beyrouth, où l’absence prolongée du principal leader sunnite, Saad Hariri, et de son courant du Futur rend la compétition encore plus incertaine. Du côté de la Békaa, la bataille entre les différents pôles à Zahlé s’annonce également serrée, tandis qu’à...
Après le Mont-Liban, le Nord et le Akkar, les électeurs des gouvernorats (mohafazats) de Beyrouth, de la Békaa et de Baalbeck-Hermel doivent élire dimanche 18 mai leurs moukhtars et conseils municipaux. Plus d’un million d’électeurs sont concernés par ce troisième (et plus grand) tour de vote. Dans la plupart des cas, la compétition est dictée par des considérations strictement locales. Toutefois, la politique prend parfois le dessus, notamment dans les grandes villes et dans le contexte actuel de polarisation accrue autour du Hezbollah et de ses armes. C’est d’autant plus le cas à Beyrouth, où l’absence prolongée du principal leader sunnite, Saad Hariri, et de son courant du Futur rend la compétition encore plus incertaine. Du côté de la Békaa, la bataille entre les différents pôles à Zahlé s’annonce...
Votre titre qui immédiatement parle de confessions est un appui tacite aux oartus sectaires. Pourquoi ne pas parler d’un test de popularité entre les partis sectaires et les nouveaux mouvements réformistes? Merci
16 h 20, le 18 mai 2025