Une vue de la ville d’Alep. Photo AFP
Vendredi soir, le maire d’un quartier de Homs, Adham Rajoub, connu pour sa proximité avec les services de renseignements du pouvoir syrien déchu, a été abattu dans la localité par des assaillants non identifiés, selon des sources locales. Cet assassinat s’inscrit dans une vague plus large de violences qui ébranlent la transition post-Assad en Syrie. Dans son dernier rapport daté du 2 mai, le Réseau syrien pour les droits de l’homme (SNHR) a recensé 174 morts en avril dans des exactions extrajudiciaires, dont 23 enfants et 13 femmes. Si sept civils ont été tués par les forces du gouvernement de transition et cinq par des figures restées loyales à l’ex-régime Assad, la grande majorité des agressions, soit 143, ont été attribuées à des acteurs non identifiés.Justice transitionnelle« La Syrie est à la croisée des chemins, et bon nombre des...
Vendredi soir, le maire d’un quartier de Homs, Adham Rajoub, connu pour sa proximité avec les services de renseignements du pouvoir syrien déchu, a été abattu dans la localité par des assaillants non identifiés, selon des sources locales. Cet assassinat s’inscrit dans une vague plus large de violences qui ébranlent la transition post-Assad en Syrie. Dans son dernier rapport daté du 2 mai, le Réseau syrien pour les droits de l’homme (SNHR) a recensé 174 morts en avril dans des exactions extrajudiciaires, dont 23 enfants et 13 femmes. Si sept civils ont été tués par les forces du gouvernement de transition et cinq par des figures restées loyales à l’ex-régime Assad, la grande majorité des agressions, soit 143, ont été attribuées à des acteurs non identifiés.Justice transitionnelle« La Syrie est à la croisée...