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Politique - Tensions dans le Hermel

Après un « enlèvement » à la frontière libano-syrienne, doit-on craindre une reprise des tensions ?

L'incident survenu le week-end dernier à la frontière n'a pas eu de conséquences, probablement en raison du fait qu'il était « différent » des tensions avec les clans chiites.

Après un « enlèvement » à la frontière libano-syrienne, doit-on craindre une reprise des tensions ?

Une école endommagée par des tirs des forces de sécurité syriennes à Qasr dans le Hermel, le 13 février 2025. Photo Matthieu Karam/L'Orient-Le Jour

Malgré une récente baisse des tensions le long de la frontière libano-syrienne à la suite des affrontements meurtriers de la mi-mars et du début février, les nouvelles forces de sécurité syriennes ont brièvement enlevé quatre jeunes libano-syriens de la famille Radi à Machari' el-Qaa, dans la Békaa, dimanche dernier. Un kidnapping qui fait craindre que la frontière entre les deux pays, qui n'est pas encore totalement délimitée malgré un récent accord de principe en ce sens, ne s'embrase à nouveau entre les villages libanais et la forces de sécurité du nouveau régime de Damas. Les versions concernant l'enlèvement des quatre personnes diffèrent, mais selon des sources locales contactées par notre correspondante, ils ont été emmenés en Syrie, interrogés pendant plusieurs heures au sujet d’activités présumées de contrebande, puis...
Malgré une récente baisse des tensions le long de la frontière libano-syrienne à la suite des affrontements meurtriers de la mi-mars et du début février, les nouvelles forces de sécurité syriennes ont brièvement enlevé quatre jeunes libano-syriens de la famille Radi à Machari' el-Qaa, dans la Békaa, dimanche dernier. Un kidnapping qui fait craindre que la frontière entre les deux pays, qui n'est pas encore totalement délimitée malgré un récent accord de principe en ce sens, ne s'embrase à nouveau entre les villages libanais et la forces de sécurité du nouveau régime de Damas. Les versions concernant l'enlèvement des quatre personnes diffèrent, mais selon des sources locales contactées par notre correspondante, ils ont été emmenés en Syrie, interrogés pendant plusieurs heures au sujet d’activités...
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