L'Algérie a défendu lundi soir sa décision "souveraine" d'expulser 12 agents français, en faisant porter au ministre français de l'Intérieur Bruno Retailleau "la responsabilité entière" de ce regain de tensions entre Alger et Paris.
Dans un communiqué, le ministère algérien des Affaires étrangères a confirmé que ces 12 personnes avaient été déclarées persona non grata en réponse à l'arrestation en France d'un agent consulaire algérien, un "acte indigne" qui est "la conséquence de l'attitude négative, affligeante et constante du ministre de l'Intérieur français vis-à-vis de l'Algérie", a-t-il ajouté.
abh-iba/hme
© Agence France-Presse
L'Algérie a défendu lundi soir sa décision "souveraine" d'expulser 12 agents français, en faisant porter au ministre français de l'Intérieur Bruno Retailleau "la responsabilité entière" de ce regain de tensions entre Alger et Paris.
Dans un communiqué, le ministère algérien des Affaires étrangères a confirmé que ces 12 personnes avaient été déclarées persona non grata en réponse à l'arrestation en France d'un agent consulaire algérien, un "acte indigne" qui est "la conséquence de l'attitude négative, affligeante et constante du ministre de l'Intérieur français vis-à-vis de l'Algérie", a-t-il ajouté.
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