
Le salon de réception du ministère de la Défense, place des Omeyyades, à Damas. Photo SK
Le nouveau leadership évolue dans un entre-deux où rien n’est prévisible, tout est possible. Ahmad el-Chareh s’offre un costume de président, mais son autorité n’est pas totale.
OLJ / Par Stéphanie KHOURI, le 08 février 2025 à 00h00
Le salon de réception du ministère de la Défense, place des Omeyyades, à Damas. Photo SK
Il risque d'arriver en Syrie ce qui est arrivé à l'Algérie en 1962, la plupart des fonctionnaires étaient des pieds noirs ou des juifs et ils sont tous partis en 1962. Bref ce fut le chaos pour ce pays.
BRAVO POUR L'ARTICLE
Il risque d'arriver en Syrie ce qui est arrivé à l'Algérie en 1962, la plupart des fonctionnaires étaient des pieds noirs ou des juifs et ils sont tous partis en 1962. Bref ce fut le chaos pour ce pays.
18 h 19, le 10 février 2025