
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, reçu par son homologue émirati Abdallah ben Zayed, à Abou Dhabi, le 7 janvier 2025. Photo tirée du compte X official du ministre émirati des Affaires étrangères @OFMUAE
Les Émirats arabes unis cherchent à s’assurer une position favorable dans l’après-Gaza, tout en maintenant des liens forts avec Tel-Aviv, malgré le malaise que cela suscite.
OLJ / Par Amélie ZACCOUR, le 09 janvier 2025 à 00h00
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, reçu par son homologue émirati Abdallah ben Zayed, à Abou Dhabi, le 7 janvier 2025. Photo tirée du compte X official du ministre émirati des Affaires étrangères @OFMUAE
Aucun pays arabe ayant signé les accords d'abraham, n'a jamais songé à les dénoncer, y compris au plus fort des combats contre le Hamas. Les dirigeants arabes assurent le "service minimum" contre Israël, afin de légèrement calmer leurs opinions publiques respectives. Quand l'Arabie Saoudite signera à son tour un traité de paix ( probablement dans l'année ) d'autres pays suivront la monarchie wahabite. Quant au nouveau régime syrien, même s'il faut se montrer prudent, il a montré des signes d'ouverture qui ne sont pas à négliger. Un nouveau Moyen - Orient est peut-être occupé à naître.
Aucun pays arabe ayant signé les accords d'abraham, n'a jamais songé à les dénoncer, y compris au plus fort des combats contre le Hamas. Les dirigeants arabes assurent le "service minimum" contre Israël, afin de légèrement calmer leurs opinions publiques respectives. Quand l'Arabie Saoudite signera à son tour un traité de paix ( probablement dans l'année ) d'autres pays suivront la monarchie wahabite. Quant au nouveau régime syrien, même s'il faut se montrer prudent, il a montré des signes d'ouverture qui ne sont pas à négliger. Un nouveau Moyen - Orient est peut-être occupé à naître.
21 h 53, le 09 janvier 2025