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Monde - Éclairage

Moyen-Orient : ce que proposent (ou pas) les cinq principaux candidats à la présidentielle française

Contrairement au scrutin de 2017 ou encore à celui de 2012, la région n’a pas été sérieusement évoquée par les candidats. Et pour cause : l’actualité reste dominée par l’invasion russe de l’Ukraine. Le tout dans un contexte national marqué depuis plusieurs années par la prépondérance des thématiques identitaires.

Moyen-Orient : ce que proposent (ou pas) les cinq principaux candidats à la présidentielle française

Les cinq principaux candidats au cours de ces dernières années : Emmanuel Macron (président sortant – La République en marche), Marine Le Pen (Rassemblement national), Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise), Valérie Pécresse (Les Républicains) et Éric Zemmour (Reconquête). Combo AFP

Ils sont douze candidats en lice pour l’Élysée dans le cadre du scrutin présidentiel français dont le premier tour se déroulera dimanche. Une élection étrange pour laquelle campagne n’a pas véritablement été menée, écrasée par l’actualité liée à...
Ils sont douze candidats en lice pour l’Élysée dans le cadre du scrutin présidentiel français dont le premier tour se déroulera dimanche. Une élection étrange pour laquelle campagne n’a pas véritablement été menée, écrasée par l’actualité liée à...

commentaires (5)

Une victoire claire pour Macron, malheureusement. Une présidentielle Zemmour aurait été incroyable.

Michael Nasrallah

06 h 06, le 08 avril 2022

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Commentaires (5)

  • Une victoire claire pour Macron, malheureusement. Une présidentielle Zemmour aurait été incroyable.

    Michael Nasrallah

    06 h 06, le 08 avril 2022

  • Bla bla bla , parole parole …..

    Eleni Caridopoulou

    18 h 04, le 07 avril 2022

  • en tous cas elles/eux ont la decence de proposer quelque chose, des projets quoi. alors que les notres ne proposent que leurs sales tetes.

    Gaby SIOUFI

    15 h 03, le 07 avril 2022

  • D’abord bravo pour ce travail, pour le choix des pépites dans les discours de l’un et l’autre candidat. Vos écrivez : "LE TOUT DANS UN CONTEXTE NATIONAL MARQUE DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES PAR LA PRÉPONDÉRANCE DES THÉMATIQUES IDENTITAIRES". C’est tout à fait ça, les thématiques identitaires, autrement dit "communautaristes". Il faut bien l’avouer un jour, qu’en France, il y a des communautés dont il faut tenir en compte le vote, leurs influenceurs (euses), leurs lobbyings. D’où les déclarations contradictoires, ou complaisantes pour ne pas froisser ou heurter un certain électeur. Il faut bien l’avouer que la France a changé, et les discours de Le Pen ou de l’Algérien dont j’oublie le nom, ne changent pas grand-chose à la situation. Méconnaissent-ils (les candidats) les dossiers des pays de l’Est de la méditerranée ? Non et non, mais ils sont pris au piège, je ne dirai pas du populisme, le terme est disqualifiant, mais une certaine forme de populisme. Question subsidiaire : Jean Lassalle peut-il battre le président Macron ? Si par impossible c’est le cas, je conseille au président de venir rejoindre au Liban l’autre Manu , éditeur et écrivain, et de changer d’air et d’atmosphère, car quand les AUTEURES libanaises écrivent, elles sont sublimes. Je l’ai déjà dit en janvier, je suis obligé de me citer, c’est Macron qui va l’emporter, et rien d’autre.

    Nabil

    12 h 30, le 07 avril 2022

  • J’ai déjà dit en janvier dernier, dans un commentaire à un des éditoriaux, ce que je pense de la présidentielle qui s’annonce, et je ne reviendrai pas. Pour ce qui est du titre du long article, il ne correspond pas à l’"éclairage". Des petites phrases dénichées par ci par là, lors d’un débat ou d’interview, et on oublie qu’on est dans une campagne propice aux promesses électorales, et l’essentiel, c'est ce qui touche de près l‘électeur français, d’abord l’électeur, la chasse à l’électeur. Le grand absent, ce n’est pas les crises dans notre région, liban, Syrie (et l’Irak, et les pays du Golfe ?) ni l’occupation israélienne, ni le conflit en Irlande du Nord, mais le réchauffement climatique, le pouvoir d’achat, et surtout comment des Français ne peuvent pas payer de quoi se chauffer, et le souci des autres à régler leurs factures énergétiques. Je vous cite sur Emmanuel Macron : "OU ENCORE AU LIBAN OU SON VOLONTARISME AFFICHE S’EST SOLDE PAR UN ÉCHEC CUISANT". J’ai bien lu dans l’éditorial de l’Olj d’hier : "LE PATRON DE L’ÉLYSÉE A CONSACRE EN EFFET BEAUCOUP DE SON TEMPS ET DE SON ÉNERGIE A LA CRISE LIBANAISE, ALLANT MÊME JUSQU’A JETER DANS LA BALANCE SON CRÉDIT POLITIQUE". Et ce n’est pas du "volontarisme", et si on lit l’Édito jusqu’au bout, on voit bien d’où vient le problème. Une candidate pour ne rien dire d'elle, bénéficie d'une dynamique électorale, et qu'on ne vient pas parler, de notre région de corruption, de la banqueroute du Liban, ou de l‘Autorité palestinienne.

    Nabil

    02 h 23, le 07 avril 2022

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