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La lettre aux abonnés

Noyés et dans le chaos

Chère abonnée, cher abonné, Pour ne rien vous cacher, le curseur a clignoté un bon moment, dans une solitude crasse, sur l’étendue de la page blanche. Du blanc au-dessus de la petite barre verticale noire, du blanc au-dessous, du blanc à droite, à...
Chère abonnée, cher abonné, Pour ne rien vous cacher, le curseur a clignoté un bon moment, dans une solitude crasse, sur l’étendue de la page blanche. Du blanc au-dessus de la petite barre verticale noire, du blanc au-dessous, du blanc à droite, à...

commentaires (2)

Le Chef de l'Etat avait reconnu qu'il ne détient aucun pouvoir sur les autorités portuaires du port de Beyrouth. Si le port de Beyrouth était sur les rives orientales du golfe persique ou sur les rives de la mer Caspienne, ce serait compréhensible. Mais le port de Beyrouth, depuis que le Liban existe, est situé à sa place au Liban, et nulle part ailleurs. Sa direction, son personnel, sont 100 % libanais depuis que la France l'avait cédé à notre pays à l'indépendance. Il n'y a aucune raison d'accepter qu'une autorité autre que l'Etat libanais soit responsable de ses activités. Comment le chef de l'Etat reconnaît-il sa non souveraineté sur le port de Beyrouth ?

Un Libanais

19 h 10, le 31 juillet 2021

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Commentaires (2)

  • Le Chef de l'Etat avait reconnu qu'il ne détient aucun pouvoir sur les autorités portuaires du port de Beyrouth. Si le port de Beyrouth était sur les rives orientales du golfe persique ou sur les rives de la mer Caspienne, ce serait compréhensible. Mais le port de Beyrouth, depuis que le Liban existe, est situé à sa place au Liban, et nulle part ailleurs. Sa direction, son personnel, sont 100 % libanais depuis que la France l'avait cédé à notre pays à l'indépendance. Il n'y a aucune raison d'accepter qu'une autorité autre que l'Etat libanais soit responsable de ses activités. Comment le chef de l'Etat reconnaît-il sa non souveraineté sur le port de Beyrouth ?

    Un Libanais

    19 h 10, le 31 juillet 2021

  • oui Mme Sueur: ecouter, raconter, ecrire mais plus donner la parole aux responsables qui nous ont engouffre si dramatiquement dans cette ruine. je l'ai écrit a plusieurs reprises , qu'il faut prendre cette decision du boycott qui, reflechissez y est la seule facon de les denigrer,la seule maniere de leur faire sentir notre haine , la seule facon de les combattre faute de pouvoir les culpabiliser. Impossible de le faire diriez vous ? impossible pour des raisons financieres? mais aussi pour affiliation politique je sais. il reste que si on veut vraiment les combattre d'une autre facon que celle des 17 Octobristes dont ils ont su faire echouer le mouvement inattendu , c'est ca ou la partie est perdue . assure, jure, garantie.

    Gaby SIOUFI

    10 h 13, le 31 juillet 2021

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