Rechercher
Rechercher

Dernières Infos - Désinformation

Les Etats-Unis saisissent des sites iraniens de "propagande"

Les Etats-Unis saisissent des sites iraniens de

Le sigle du Bureau fédéral d'investigation qui a enquêté sur les noms de domaine détenus par l'Iran aux Etats-Unis. Photo AFP.

Les Etats-Unis ont saisi 92 noms de domaines utilisés par l'Iran, parmi lesquels quatre étaient utilisés par des sites d'information en langue anglaise, a annoncé mercredi le ministère de la Justice américain (DoJ). Ces sites ont été identifiés grâce à des informations provenant de Google puis avec l'aide des réseaux sociaux Twitter et Facebook, a ajouté le DoJ.

Quatre de ces sites, avec les noms de domaine "newsstand7.com", "usjournal.net", "usjournal.us" et "twtoday.net" étaient "opérés par ou pour le compte" des Gardiens de la Révolution, afin d'influencer la politique intérieure et internationale des Etats-Unis, a précisé le ministère.

Les 88 autres noms de domaines comprenaient également des sites d'information visant à "à diffuser la propagande iranienne" à destination de l'Europe occidentale, le Moyen-Orient et l'Asie du sud-est.

Les visiteurs se rendant sur les pages de ces sites mercredi pouvaient voir apparaître un message leur annonçant que "ces domaines ont été saisi par le Bureau Fédéral d'Investigation (FBI)".

"Nous continuerons à utiliser tous les outils à notre disposition pour empêcher tout mauvais usage par le gouvernement iranien d'entreprise ou réseaux sociaux américains dans le but de diffuser de la propagande, tenter d'influencer le public américain et de semer le désordre", a déclaré le ministre adjoint de la Justice John Demers.

"Les organismes diffusant de fausses information sont devenus une nouvelle manière de diffuser de la désinformation de la part d'Etats autoritaires qui continuent de tenter de miner notre démocratie", a ajouté M. Demers.

Les Etats-Unis ont saisi 92 noms de domaines utilisés par l'Iran, parmi lesquels quatre étaient utilisés par des sites d'information en langue anglaise, a annoncé mercredi le ministère de la Justice américain (DoJ). Ces sites ont été identifiés grâce à des informations provenant de Google puis avec l'aide des réseaux sociaux Twitter et Facebook, a ajouté le DoJ.Quatre de ces sites,...