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Culture - Festival de Baalbeck

Ces nuits bacchusiennes qui sentent bon l’Andalousie

Omar Bachir et ses musiciens accompagnés de la chanteuse Jahida Wehbé, du chanteur espagnol Melchior Campus et de la danseuse de flamenco Léa Llinares. Press Photo Agency

Le temple de Bacchus s’est transformé samedi soir en une machine à voyager à travers le temps et l’espace. Omar Bachir a ainsi fait transporter son auditoire de Bagdad à l’Andalousie, en faisant dialoguer d’une manière sublime le oud et la guitare, accompagné de musiciens de plusieurs nationalités. Une musique dédiée à l’amour, la paix entre les civilisations et même le drame de la guerre confessionnelle en Irak.

Pour compléter ces tableaux magiques, la voix sublime de la chanteuse et compositrice libanaise Jahida Wehbé a transporté les spectateurs vers une autre dimension. Ils étaient accompagnés par le chanteur espagnol Melchior Campus et la gracieuse danseuse de flamenco Léa Llinares. En fin de soirée, la présidente du Festival de Baalbeck Nayla de Freige a offert à Omar Bachir une affiche et le programme des années 70 de concerts réalisés par son père Mounir Bachir. À son tour, Omar Bachir a remis le prix Mounir Bachir à Jahida Wehbé pour son grand apport à la musique.

Le joueur de oud avait également animé, avec ce même groupe musical, la soirée de vendredi 2 août.

A.A.

Le temple de Bacchus s’est transformé samedi soir en une machine à voyager à travers le temps et l’espace. Omar Bachir a ainsi fait transporter son auditoire de Bagdad à l’Andalousie, en faisant dialoguer d’une manière sublime le oud et la guitare, accompagné de musiciens de plusieurs nationalités. Une musique dédiée à l’amour, la paix entre les civilisations et même le drame...

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J'aurai bien voulu etre présente

Eleni Caridopoulou

18 h 07, le 05 août 2019

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Commentaires (1)

  • J'aurai bien voulu etre présente

    Eleni Caridopoulou

    18 h 07, le 05 août 2019

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