Photo d'illustration Reuters
Le ministère libanais des Télécommunications a assuré mardi qu'il n'envisageait de supprimer ou de taxer le service de messagerie et d'appel instantané WhatsApp, au lendemain de la circulation de rumeurs selon lesquelles cette éventualité serait envisagée pour augmenter les recettes de l'Etat.
"Nous n'avons aucun plan de suppression de WhatsApp ou de nouvelles taxes", a indiqué le ministère dans un communiqué publié dans la journée. "L'augmentation des recettes de l'Etat issues du secteur des télécoms s'effectue par la création de services supplémentaires et l'amélioration de la vitesse de la connexion internet", ajoute ce texte.
Dans un reportage diffusé lundi par la chaîne locale MTV, le député CPL Alain Aoun a évoqué la possibilité de taxer les communications sur WhatsApp.
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