Le scrutin organisé au Conseil de sécurité de l'ONU pour décider ou non d'un cessez-le-feu humanitaire de 30 jours en Syrie a une énième fois pris du retard vendredi, témoignant de discussions toujours ardues avec la Russie.
Il avait été annoncé à l'origine à 17H00 GMT, puis 19H30 GMT. Peu avant 21H00 GMT, les sièges d'ambassadeurs de la grande salle du Conseil étaient toujours vides à l'exception de trois représentants des pays membres, a constaté l'AFP.
Selon un diplomate, la discussion se poursuit entre la Russie et le Koweit et la Suède, les deux co-signataires d'un projet de résolution déjà amené à de multiples reprises. La France joue les intermédiaires, a-t-on précisé de source diplomatique.
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