Le projet de résolution français sur Alep soumis samedi au Conseil de sécurité de l'Onu a été présenté pour protéger les jihadistes, estime dimanche le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
La Russie a opposé son veto à ce texte qui réclamait l'arrêt des bombardements et l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne à Alep.
"On a manifestement tenté, avec l'interdiction du survol d'Alep, de fournir une couverture aux terroristes du Front-al Nosra (actuellement le Front Fateh el-Cham, ndlr) et à leurs alliés extrémistes", dit le ministère russe des Affaires étrangères.
L'armée syrienne et ses alliés, appuyés par l'aviation russe, ont lancé une vaste offensive pour reprendre la partie orientale de la ville, tenue par l'opposition armée, après l'expiration, le 19 septembre, du bref cessez-le-feu négocié par Moscou et Washington. Plus de 250.000 civils vivent dans ce secteur assiégé pratiquement sans discontinuer depuis juillet.
La Russie a opposé son veto à ce texte qui réclamait l'arrêt des bombardements et l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne à Alep.
"On a manifestement tenté, avec l'interdiction du survol d'Alep, de fournir une couverture aux terroristes du Front-al Nosra (actuellement le Front Fateh el-Cham, ndlr) et à leurs alliés extrémistes", dit le ministère russe des Affaires étrangères.
L'armée syrienne et ses alliés, appuyés par l'aviation russe, ont lancé une vaste offensive pour reprendre la partie orientale de la ville, tenue par l'opposition armée, après l'expiration, le 19 septembre, du bref...
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