Jean-Sylvestre Mongrenier, chercheur associé à l'Institut Thomas More, note que dans l'histoire de l'Irak, les chrétiens du pays sont passés par pertes et profits. Quelle est leur situation et leur avenir en Irak ? Quelles forces politiques s'en préoccupent? Cette marginalisation et ce désintérêt pour les chrétiens d'Orient se retrouvent dans une large partie de la région, déclare M. Mongrenier. D'un point de vue occidental, il faudrait penser une grande politique moyen-orientale qui intègre la question des chrétiens d'Orient. Il s'agirait d'une politique plus large, axée sur le respect des libertés, dont la liberté de culte, et l'instauration d'États de droit. C'est ce qui se joue en Irak qui, à certains égards, est un laboratoire régional. On ne saurait céder au fatalisme et se désintéresser de l'Irak post-Saddam, conclut M. Mongrenier.
Maliki, « l’homme fort » de Bagdad à défaut de mieux
Les chrétiens d’Orient sont marginalisés et oubliés
OLJ / le 05 mai 2014 à 00h05
Jean-Sylvestre Mongrenier, chercheur associé à l'Institut Thomas More, note que dans l'histoire de l'Irak, les chrétiens du pays sont passés par pertes et profits. Quelle est leur situation et leur avenir en Irak ? Quelles forces politiques s'en préoccupent? Cette marginalisation et ce désintérêt pour les chrétiens d'Orient se retrouvent dans une large partie de la région, déclare M....
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