"Le conflit israélo-palestinien n'est pas territorial mais porte sur l'existence même de l'Etat d'Israël", a déclaré M. Netanyahu lors d'une réunion au ministère des Affaires étrangères. "L'absence de volonté des Palestiniens de reconnaître l'Etat d'Israël comme l'Etat-nation du peuple juif, voilà la racine du conflit", a-t-il estimé, cité par ce responsable.
Dernières Infos
Netanyahu: le conflit avec les Palestiniens n'est pas territorial
AFP / le 01 mai 2013 à 13h01
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé mercredi que le conflit avec les Palestiniens n'était pas territorial, mais portait sur l'existence d'un "Etat juif", a indiqué un responsable gouvernemental, en réaction à la reformulation de l'initiative de paix arabe.
"Le conflit israélo-palestinien n'est pas territorial mais porte sur l'existence même de l'Etat d'Israël", a déclaré M. Netanyahu lors d'une réunion au ministère des Affaires étrangères. "L'absence de volonté des Palestiniens de reconnaître l'Etat d'Israël comme l'Etat-nation du peuple juif, voilà la racine du conflit", a-t-il estimé, cité par ce responsable.
"Le conflit israélo-palestinien n'est pas territorial mais porte sur l'existence même de l'Etat d'Israël", a déclaré M. Netanyahu lors d'une réunion au ministère des Affaires étrangères. "L'absence de volonté des Palestiniens de reconnaître l'Etat d'Israël comme l'Etat-nation du peuple juif, voilà la racine du conflit", a-t-il estimé, cité par ce responsable.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé mercredi que le conflit avec les Palestiniens n'était pas territorial, mais portait sur l'existence d'un "Etat juif", a indiqué un responsable gouvernemental, en réaction à la reformulation de l'initiative de paix arabe."Le conflit israélo-palestinien n'est pas territorial mais porte sur l'existence même de l'Etat d'Israël", a...
Les plus commentés
L'UE annonce un financement pour le Liban d'un milliard d'euros, jusqu'en 2027
« Lorsqu’il s’agit de critiquer Israël, l’université ne veut rien entendre »
« Viens prendre un café » : quand « L’Orient-Le Jour » passe à la censure