La Coalition de l'opposition syrienne a insisté mercredi sur un départ du président Bachar al-Assad comme préalable à tout règlement politique, au lendemain de discussions russo-américaines à Bruxelles sur la Syrie.
"Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et son homologue Serguei Lavrov se sont rencontrés et il semble qu'ils ont partagé les mêmes vues concernant la crise syrienne", affirme la Coalition de l'opposition dans un communiqué.
"La Coalition applaudit tout effort visant à trouver des solutions à la crise syrienne. Cependant, les deux années de révolution par le peuple et pour le peuple, afin d'aboutir à la liberté et la dignité, vont continuer", dit-elle.
"Aussi, insiste la Coalition, toute solution doit prendre en considération les demandes du peuple syrien: se débarrasser de la tyrannie et plus important encore le départ d'Assad", souligne le communiqué.
MM. Kerry et Lavrov avaient eu mardi un entretien d'une quarantaine de minutes, dont la moitié en tête-tête, après une réunion du Conseil Otan-Russie, au siège de l'Otan à Bruxelles.
"Durant leur réunion en tête-à-tête (...)ils ont centré leur discussion sur la Syrie et sur l'importance de travailler à une solution politique fondée sur l'accord de Genève", a expliqué un haut responsable du département d'Etat.
S'exprimant ensuite devant la presse, M. Lavrov a insisté sur la nécessité d'un accord politique car "si on ne fait rien, ce sont les extrémistes qui vont l'emporter".
Le communiqué dit de Genève, du 30 juin 2012, est la pierre angulaire de la position de la Russie qui prévoit la mise en place d'un processus de transition politique réunissant toutes les parties en conflit en Syrie. Ce document ne se prononce pas sur le sort du président Bachar al-Assad,
"Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et son homologue Serguei Lavrov se sont rencontrés et il semble qu'ils ont partagé les mêmes vues concernant la crise syrienne", affirme la Coalition de l'opposition dans un communiqué.
"La Coalition applaudit tout effort visant à trouver des solutions à la crise syrienne. Cependant, les deux années de révolution par le peuple et pour le peuple, afin d'aboutir à la liberté et la dignité, vont continuer", dit-elle.
"Aussi, insiste la Coalition, toute solution doit prendre en considération les demandes du peuple syrien: se débarrasser de la tyrannie et plus important encore le départ d'Assad", souligne le communiqué.
MM. Kerry et Lavrov avaient eu mardi un entretien d'une quarantaine de minutes, dont la moitié en tête-tête, après une réunion du Conseil Otan-Russie, au siège de l'Otan à Bruxelles.
"Durant leur réunion en tête-à-tête (...)ils ont centré leur discussion sur la Syrie et sur l'importance de travailler à une solution politique fondée sur l'accord de Genève", a expliqué un haut responsable du département d'Etat.
S'exprimant ensuite devant la presse, M. Lavrov a insisté sur la nécessité d'un accord politique car "si on ne fait rien, ce sont les extrémistes qui vont l'emporter".
Le communiqué dit de Genève, du 30 juin 2012, est la pierre angulaire de la position de la Russie qui prévoit la mise en place d'un processus de transition politique réunissant toutes les parties en conflit en Syrie. Ce document ne se prononce pas sur le sort du président Bachar al-Assad,
La Coalition de l'opposition syrienne a insisté mercredi sur un départ du président Bachar al-Assad comme préalable à tout règlement politique, au lendemain de discussions russo-américaines à Bruxelles sur la Syrie."Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et son homologue Serguei Lavrov se sont rencontrés et il semble qu'ils ont partagé les mêmes vues concernant la crise syrienne",...
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