Le président intérimaire syrien Ahmad el-Chareh (à gauche) échange une poignée de main avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, au cours d'une visite surprise samedi à Istanbul. Photo AFP
La destination n’a pas été choisie au hasard. Pour son premier déplacement à l’étranger depuis l’annonce américaine de la levée des sanctions contre la Syrie, le président intérimaire Ahmad el-Chareh a effectué samedi une visite surprise à Istanbul. Si la présidence turque n’a pas précisé le contenu des échanges, le maître de Damas s’est entretenu pendant plus de deux heures avec son hôte, Recep Tayyip Erdogan. Une entrevue à laquelle ont également participé les ministres syriens des Affaires étrangères et de la Défense, leurs homologues turcs ainsi que le directeur des services de renseignements du pays d’accueil, selon l’agence Anadolu.Bases militaires, aérienne et navaleMoins de deux semaines après le revirement inattendu du chef de la Maison-Blanche vis-à-vis du nouveau régime à Damas, le voyage d’Ahmad el-Chareh signe avant tout la...
La destination n’a pas été choisie au hasard. Pour son premier déplacement à l’étranger depuis l’annonce américaine de la levée des sanctions contre la Syrie, le président intérimaire Ahmad el-Chareh a effectué samedi une visite surprise à Istanbul. Si la présidence turque n’a pas précisé le contenu des échanges, le maître de Damas s’est entretenu pendant plus de deux heures avec son hôte, Recep Tayyip Erdogan. Une entrevue à laquelle ont également participé les ministres syriens des Affaires étrangères et de la Défense, leurs homologues turcs ainsi que le directeur des services de renseignements du pays d’accueil, selon l’agence Anadolu.Bases militaires, aérienne et navaleMoins de deux semaines après le revirement inattendu du chef de la Maison-Blanche vis-à-vis du nouveau régime à Damas, le...
La Syrie, vers la fin des années 80 avait aussi réussi a avoir un rôle important dans le conflit US-Saddam. Sa récompense a été de lui offrir Beyrouth d'ou l'apparition de Aoun et sa trahison pour forcer les Libanais a une paix même brinquebalante. Nous avons vu ou cela l'a conduit. La Turquie pense faire quelque chose de similaire mais le résultat sera le même: Elle se désintégrera pour avoir eu les yeux plus grand que son estomac. Les connaissant, les Turcs sont de très mauvais occupants et très vite les Syriens voudront les voir partir. Erdogan = Assad = "same shit in a different package!"
11 h 40, le 28 mai 2025