Bishara Bahbah avec le président américain Donald Trump et le vice-président JD Vance. Photo @BahbahBishara/X
C’est vers lui que le Hamas s’est tourné. Au mois d’avril, Bishara Bahbah, financier américano-palestinien, reçoit un appel particulier. Au bout du fil, Ghazi Hamad, haut responsable du bureau politique du groupe islamiste. « Il m’a demandé de transmettre un message aux responsables américains et c’est ce que j’ai fait », a déclaré l’homme de 67 ans dans une interview accordée la semaine dernière à la chaîne israélienne Channel 12. Une prise de contact qui aboutira lundi 12 mai à la libération de l’otage américano-israélien Edan Alexander, après plus d’un mois d’intenses pourparlers entre le Hamas et l’envoyé spécial américain au Moyen-Orient, Steve Witkoff. Une victoire « monumentale » pour le président américain Donald Trump, tandis qu’avec ce coup de poker, le Hamas espérait du locataire de la Maison-Blanche qu’il fasse pression sur...
C’est vers lui que le Hamas s’est tourné. Au mois d’avril, Bishara Bahbah, financier américano-palestinien, reçoit un appel particulier. Au bout du fil, Ghazi Hamad, haut responsable du bureau politique du groupe islamiste. « Il m’a demandé de transmettre un message aux responsables américains et c’est ce que j’ai fait », a déclaré l’homme de 67 ans dans une interview accordée la semaine dernière à la chaîne israélienne Channel 12. Une prise de contact qui aboutira lundi 12 mai à la libération de l’otage américano-israélien Edan Alexander, après plus d’un mois d’intenses pourparlers entre le Hamas et l’envoyé spécial américain au Moyen-Orient, Steve Witkoff. Une victoire « monumentale » pour le président américain Donald Trump, tandis qu’avec ce coup de poker, le Hamas espérait du...