En Syrie, Israël pousse pour une détente, mais sous conditions
Si l’État hébreu cherche à affaiblir le nouveau régime de Damas, une entente avec le pays voisin lui permettrait de préserver ses intérêts sécuritaires.
Un véhicule de l’armée israélienne dans la zone démilitarisée qui sépare le Golan occupé et annexé par l’État hébreu du reste du territoire syrien, le 14 décembre 2024. Jalaa Marey/AFP
Il y a encore deux mois, les nouveaux dirigeants syriens étaient présentés par Israël comme des « jihadistes », en référence au passé du président intérimaire Ahmad el-Chareh, ex-leader du mouvement islamiste Hay’at Tahrir el-Cham, issu d’el-Qaëda. Ils « le sont restés, même s’ils portent aujourd’hui des costumes », lançait début mars le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, reprenant la ligne dure de l’État hébreu vis-à-vis des dirigeants arrivés au pouvoir en décembre après avoir renversé le régime Assad. Sous couvert de lutte contre une menace jihadiste à sa frontière, Israël avait lancé des centaines de frappes aériennes sur des bases militaires à travers le pays voisin et revendiqué le ciblage de dépôts d’armes chimiques pour éviter qu’elles ne tombent aux mains d’islamistes radicaux. Pourtant aujourd’hui,...
Il y a encore deux mois, les nouveaux dirigeants syriens étaient présentés par Israël comme des « jihadistes », en référence au passé du président intérimaire Ahmad el-Chareh, ex-leader du mouvement islamiste Hay’at Tahrir el-Cham, issu d’el-Qaëda. Ils « le sont restés, même s’ils portent aujourd’hui des costumes », lançait début mars le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, reprenant la ligne dure de l’État hébreu vis-à-vis des dirigeants arrivés au pouvoir en décembre après avoir renversé le régime Assad. Sous couvert de lutte contre une menace jihadiste à sa frontière, Israël avait lancé des centaines de frappes aériennes sur des bases militaires à travers le pays voisin et revendiqué le ciblage de dépôts d’armes chimiques pour éviter qu’elles ne tombent aux mains...
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avec le soutien de Washington, qui lui donnerait en outre la marge de manœuvre pour intervenir à sa guise contre des actions perçues comme déstabilisatrices, à l’image de l’accord de cessez-le-feu au Liban. =============== IL EST CLAIR CE QU,ONT ACCEPTE/SIGNE POUR SAUVER LEURS PEAUX *BERRY, KASSEM ET MIKATI* ET LES INTERVENTIONS ISRAELIENNES ENCORE AU LIBAN, ET EN PREMIERE LE DESARMEMENT DU TANDEM CHIITE NON RESPECTE.
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avec le soutien de Washington, qui lui donnerait en outre la marge de manœuvre pour intervenir à sa guise contre des actions perçues comme déstabilisatrices, à l’image de l’accord de cessez-le-feu au Liban. =============== IL EST CLAIR CE QU,ONT ACCEPTE/SIGNE POUR SAUVER LEURS PEAUX *BERRY, KASSEM ET MIKATI* ET LES INTERVENTIONS ISRAELIENNES ENCORE AU LIBAN, ET EN PREMIERE LE DESARMEMENT DU TANDEM CHIITE NON RESPECTE.
avec le soutien de Washington, qui lui donnerait en outre la marge de manœuvre pour intervenir à sa guise contre des actions perçues comme déstabilisatrices, à l’image de l’accord de cessez-le-feu au Liban. =============== IL EST CLAIR CE QU,ONT ACCEPTE/SIGNE POUR SAUVER LEURS PEAUX *BERRY, KASSEM ET MIKATI* ET LES INTERVENTIONS ISRAELIENNES ENCORE AU LIBAN, ET EN PREMIERE LE DESARMEMENT DU TANDEM CHIITE NON RESPECTE.
11 h 07, le 21 mai 2025