Des Palestiniens détenus par Israël reviennent à Gaza après leur libération en 2024. Photo AFP
Ayman* a été libéré le 1er décembre après avoir été détenu sans raison par l’armée israélienne. « Tout a commencé lorsque, le 6 octobre 2024, ma femme, mes trois enfants et moi-même avons été assiégés dans le nord de Gaza, raconte le père de famille. L’armée a diffusé des messages via des haut-parleurs nous indiquant un passage sûr pour fuir, mais en nous y rendant, j’ai été arrêté sans que l’on m’informe pourquoi. » L’homme subit alors un interrogatoire de dix heures, avant d’être emprisonné dans des conditions inhumaines : déshabillé, menotté, les yeux bandés, battu, privé d’avocat, et incarcéré dans l’atroce prison militaire de Sde Teiman, décrite comme un camp de torture par l’ONG israélienne B’tselem. « Pendant quarante jours, j’ai vécu la brutalité, les humiliations, les opérations de répression répétées. Pourtant, je suis un...
Ayman* a été libéré le 1er décembre après avoir été détenu sans raison par l’armée israélienne. « Tout a commencé lorsque, le 6 octobre 2024, ma femme, mes trois enfants et moi-même avons été assiégés dans le nord de Gaza, raconte le père de famille. L’armée a diffusé des messages via des haut-parleurs nous indiquant un passage sûr pour fuir, mais en nous y rendant, j’ai été arrêté sans que l’on m’informe pourquoi. » L’homme subit alors un interrogatoire de dix heures, avant d’être emprisonné dans des conditions inhumaines : déshabillé, menotté, les yeux bandés, battu, privé d’avocat, et incarcéré dans l’atroce prison militaire de Sde Teiman, décrite comme un camp de torture par l’ONG israélienne B’tselem. « Pendant quarante jours, j’ai vécu la brutalité, les humiliations,...
Ceux qui justifient encore le soi-disant droit légitime d'Israël à se défendre malgré toutes les abominations quotidiennes de cette puissance occupante sont des monstres. Israël a définitivement perdu son âme
01 h 20, le 28 mai 2025