
Une vue du marché de moutons du sacrifice dans la ville de Kafr Jalès, près d’Idleb. Photo Abdel Razzak al-Chami
Touchés de plein fouet par la crise économique, de nombreux Syriens vivant dans le dernier bastion rebelle au régime de Damas se voient dans l’impossibilité de célébrer ce dimanche la « fête du sacrifice ».
OLJ / Abdul Razaq Alshami, à Idleb, le 16 juin 2024 à 17h33
Une vue du marché de moutons du sacrifice dans la ville de Kafr Jalès, près d’Idleb. Photo Abdel Razzak al-Chami
Pourquoi faire des reproches aux ONG alors que leur bourreau n’est autre que leur président?Qu’ils demandent à leur président qu’ils ont élu à 90% de voix, qui est devenu richissime ainsi qu’à sa femme qui s’habille en LOUIS VUITTON, si le peuple a le droit d’ouvrir la bouche, jute pour manger à défaut de protester. Ils ne cessent de vanter ses louanges malgré toute la misère qu’il leur a infligées. Ça nous rappelle les partisans du HB qui adoptent le même comportement que les syriens et les autres peuples sous des régimes dictatoriaux.
Sans exception, l’article répète le Bla Bla Bla chanté par Les ONG « HUMANITAIRES » ! Votre photo (IDLEB) : Le sacrifice est devenu un RÊVE ….. nous avons déjà du mal à joindre les deux bouts, alors comment pouvons-nous nous permettre d'acheter un mouton ? Tien et à l’arrière ? Qu'est-ce que c'est ? C’est l’habituelle chorale des moutons qui chante : HOURRA, ON RENTRE à la maison ! Bil Rof Bil Dam Thaoura Thaoura …
"Grâce à son frère qui vit en Allemagne, ce jeune homme a pu sacrifier un mouton"... la gente des moutons va donc maudire l'Allemagne...
Pourquoi faire des reproches aux ONG alors que leur bourreau n’est autre que leur président?Qu’ils demandent à leur président qu’ils ont élu à 90% de voix, qui est devenu richissime ainsi qu’à sa femme qui s’habille en LOUIS VUITTON, si le peuple a le droit d’ouvrir la bouche, jute pour manger à défaut de protester. Ils ne cessent de vanter ses louanges malgré toute la misère qu’il leur a infligées. Ça nous rappelle les partisans du HB qui adoptent le même comportement que les syriens et les autres peuples sous des régimes dictatoriaux.
18 h 54, le 18 juin 2024