Lucile Wassermann, notre envoyée spéciale à Antioche, en Turquie, a rencontré le docteur Hanif Kokaçya, adjoint du chef de service de tomographie dans le dernier hôpital public de la ville encore debout. Il a accepté de la laisser filmer dans cet établissement dans lequel continuent d'affluer les victimes du séisme du 6 février, qui a frappé la Turquie et la Syrie. Un hôpital dans lequel, aussi, les médecins, parfois eux-mêmes touchés par le drame, travaillent sans relâche à sauver des vies.
Antioche est l'une des villes turques ayant le plus souffert du tremblement de terre.
Lucile Wassermann, notre envoyée spéciale à Antioche, en Turquie, a rencontré le docteur Hanif Kokaçya, adjoint du chef de service de tomographie dans le dernier hôpital public de la ville encore debout. Il a accepté de la laisser filmer dans cet établissement dans lequel continuent d'affluer les victimes du séisme du 6 février, qui a frappé la Turquie et la Syrie. Un hôpital dans lequel, aussi, les médecins, parfois eux-mêmes touchés par le drame, travaillent sans relâche à sauver des vies. Antioche est l'une des villes turques ayant le plus souffert du tremblement de terre....
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.