
© L'Orient-Le Jour
Né à Beyrouth en 1952, Akl Awit est poète, critique littéraire, journaliste et professeur universitaire libanais. Il a dirigé pendant longtemps le Moulhak, supplément culturel hebdomadaire du quotidien libanais An-Nahar. Nombre de ses poèmes sont traduits dans différentes langues et publiés dans divers magazines et anthologies poétiques. Intitulé Al-Rabeʻ men ʼAb 2020 (4 août 2020), son dernier ouvrage est paru en décembre dernier chez L’Orient des Livres.
Quel est le principal trait de votre caractère ?
Le rêve.
Votre qualité préférée chez un homme ?
La noblesse.
Votre qualité préférée chez une femme?
Quand elle est une vraie lady.
Qu'appréciez-vous le plus chez vos amis ?
L’amitié.
Votre principal défaut ?
Ma nervosité.
Votre occupation préférée ?
La poésie.
Votre rêve de bonheur ?
Une maison solitaire au bord de la mer.
Quel serait votre plus grand malheur ?
Souiller mon honneur ou perdre la capacité d’aimer.
Ce que vous voudriez être ?
Poète, puis poète, puis poète.
Le pays où vous désireriez vivre ?
Dans ma tête.
La fleur que vous aimez ?
La fleur des champs.
Vos auteurs favoris en prose ?
La Bible selon la traduction d’Al-Yazigi.
Vos poètes préférés ?
Baudelaire, Éluard, Rimbaud, Rilke, Ounsi el-Hage.
Vos héros dans la fiction ?
Le Christ.
Vos compositeurs préférés ?
Assi Rahbani, Beethoven, Mozart, Miles Davis.
Vos peintres favoris ?
Van Gogh, Paul Guiragossian.
Vos héros dans la vie réelle ?
Les héros méconnus.
Vos prénoms favoris ?
Les prénoms laïques.
Ce que vous détestez par-dessus tout ?
L’infidélité.
Le fait militaire que vous admirez le plus ?
Quand le temple s’écroule sur la tête des tyrans.
La réforme que vous estimez le plus ?
État civil laïque.
L'état présent de votre esprit ?
Une sorte d’immunité spirituelle empreinte d’une lueur d’espoir, en dépit de la tristesse et du désespoir qui me rongent.
Comment aimeriez-vous mourir ?
Dans mon canapé, ma tête reposant sur ma main.
Le don de la nature que vous aimeriez avoir ?
La générosité gratuite et désintéressée.
Les fautes qui vous inspirent le plus d'indulgence ?
Celles qui découlent d’un excès de fierté. Ou le délit de tomber amoureux d’une femme belle et mystérieuse.
Votre devise ?
Garder son âme d’enfant.
Né à Beyrouth en 1952, Akl Awit est poète, critique littéraire, journaliste et professeur universitaire libanais. Il a dirigé pendant longtemps le Moulhak, supplément culturel hebdomadaire du quotidien libanais An-Nahar. Nombre de ses poèmes sont traduits dans différentes langues et publiés dans divers magazines et anthologies poétiques. Intitulé Al-Rabeʻ men ʼAb 2020 (4 août...
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