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L'Arabie saoudite dément avoir voulu une révolution de palais

Il n'y a pas de problème dans la façon dont le prince hériter Mohamed ben Nayef a été évincé fin juin en faveur du fils du roi Salman, Mohamed ben Salmane, indique-t-on mercredi de source autorisée.

Reuters a rapporté mercredi que l'héritier du trône saoudien avait été contraint par le roi Salmane de quitter son poste à la valeur d'une véritable révolution de palais car son jugement serait biaisé à cause de son addiction aux opiacées comme la morphine.

Le haut responsable saoudien qui s'est exprimé a évoqué une dépêche totalement "infondée et fausse en plus d'être une absurdité."

"Cette histoire est une pure fantaisie digne d'Hollywood", a réagi ce responsable saoudien dans une déclaration à Reuters.

Cette déclaration ne fait pas référence à la consommation d'opiacées prêtée à Mohamed ben Nayef afin d'atténuer sa douleur liée aux séquelles d'un attentat. En 2009, un homme s'est fait exploser à côté devant lui dans son palais.

D'après le responsable saoudien, Mohamed ben Nayef a quitté son poste de prince héritier pour des raisons "confidentielles", dans l'intérêt du pays et n'a subi ni "pression, ni mépris".

Mohamed ben Salmane, 31 ans et fils du roi Salmane, lui a succédé fin juin, ce qui fait de lui le prochain dirigeant de l'Arabie saoudite. Il est également devenu vice-Premier ministre tout en conservant ses portefeuilles, dont celui de la Défense.

Il n'y a pas de problème dans la façon dont le prince hériter Mohamed ben Nayef a été évincé fin juin en faveur du fils du roi Salman, Mohamed ben Salmane, indique-t-on mercredi de source autorisée.
Reuters a rapporté mercredi que l'héritier du trône saoudien avait été contraint par le roi Salmane de quitter son poste à la valeur d'une véritable révolution de palais car son...