Du gaz sarin ou une substance similaire a été utilisé dans l'attaque du 4 avril dernier à Khan Cheikhoune, en Syrie, qui a fait près de 90 morts, a déclaré le directeur général de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), Ahmet Uzumcu, cité mercredi par la délégation britannique.
Ces conclusions vont dans le sens d'analyses menées précédemment par des laboratoires en Turquie et en Grande-Bretagne.
L'attaque contre ce village proche d'Idlib, attribuée par les Occidentaux à l'aviation de Bachar el-Assad, a conduit Donald Trump à ordonner trois jours plus tard la première action militaire directe des Etats-Unis contre le régime syrien en six ans de guerre civile, bombardant la base aérienne de Chayrat.
Dans un entretien accordé à l'Agence France Presse, le président Bachar el-Assad a affirmé que l'attaque chimique de Khan Cheikhoune était une "fabrication à 100%" et que la Syrie ne possédait pas d'armes chimiques.
Du gaz sarin ou une substance similaire a été utilisé dans l'attaque du 4 avril dernier à Khan Cheikhoune, en Syrie, qui a fait près de 90 morts, a déclaré le directeur général de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), Ahmet Uzumcu, cité mercredi par la délégation britannique.
Ces conclusions vont dans le sens d'analyses menées précédemment par des...
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