Ayant pris part hier à la réunion hebdomadaire du secrétariat général du 14 Mars, les responsables des affaires étudiantes des Forces libanaises, du courant du Futur et du Parti national libéral ont voulu ainsi affirmer « notre refus de nous résigner à la violence ». Dénonçant vivement « les atteintes contre l’un de nos étudiants à la LAU de Beyrouth » avant-hier, ils ont réclamé « au gouvernement (...) de prouver (...) qu’il est pour tous les Libanais, en révélant l’identité de l’agresseur et en le sanctionnant ». Rejetant catégoriquement la possibilité d’une annulation des élections, les responsables estudiantins ont appelé les autorités à « renforcer la présence des agents de sécurité aux portes des universités (...) au lieu de faire payer, à la jeunesse démocratique, le prix des agressions (enregistrées cette année à la LAU, la NDU et l’USJ) ».
Liban
Pour les étudiants du 14 Mars, l’enjeu des élections est simple : le TSL ou le camp des meurtriers
OLJ / le 03 novembre 2011 à 00h50
Ayant pris part hier à la réunion hebdomadaire du secrétariat général du 14 Mars, les responsables des affaires étudiantes des Forces libanaises, du courant du Futur et du Parti national libéral ont voulu ainsi affirmer « notre refus de nous résigner à la violence ». Dénonçant vivement « les atteintes contre l’un de nos étudiants à la LAU de Beyrouth » avant-hier, ils ont réclamé « au gouvernement (...) de prouver (...) qu’il est pour tous les Libanais, en révélant l’identité de l’agresseur et en le sanctionnant ». Rejetant catégoriquement la possibilité d’une annulation des élections, les responsables estudiantins ont appelé les autorités à « renforcer la présence des agents de sécurité aux portes des universités (...) au lieu de faire payer, à la jeunesse démocratique, le prix des agressions (enregistrées cette année à la LAU, la NDU et l’USJ) ».
commentaires (3)
Même si on a un goût amer des investigateurs du TSL, les juges, quand à eux, ne peuvent pas être accusés d'être à la solde de personne. Ils n'ont encore ni juger ni statuer ni prononcer quelque verdict. Présenter les accusés avec leurs avocats pour les défendre, serait la juste décision à prendre. Une telle démarche désamorcerait la mèche des appréhensions et rendrait possible l'approche et le Dialogue pour l'Entente, dans le pays. Anastase Tsiris
Anastase Tsiris
04 h 30, le 03 novembre 2011