Le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, a affirmé hier que « les chrétiens sont au cœur du printemps arabe ». « Notre position est claire à ce propos. Nous appuyons le droit des peuples à décider de leur sort et à vivre en liberté », a indiqué M. Geagea devant une délégation du village de Brih. Il a aussi affirmé que « le camp adverse adopte toujours la méthode des assassinats pour mettre la main sur le pays, à défaut des moyens démocratiques comme les élections ». « Je regrette que ces méfaits et ces attentats soient couverts par des parties libanaises dans le seul but d’obtenir des sièges au Parlement et au gouvernement. Pour ces raisons, nous refusons de participer au dialogue et aux réunions des commissions parlementaires », a-t-il ajouté. Il a rappelé que plusieurs tentatives d’assassinat ont eu lieu cette année, notamment à Meerab et à Badaro, déplorant celle qui a abouti à l’assassinat du général Wissam el-Hassan.
M. Geagea a estimé que « les événements en Syrie s’accélèrent et que le régime tombera bientôt ». « Ses suiveurs au Liban tomberont aussi et nous obligerons ceux qui portent les armes à les livrer par les moyens politiques », a-t-il dit, soulignant que « si l’armée syrienne a bien quitté le Liban en 2005, ses représentants sont toujours sur la scène libanaise, œuvrant pour leur propre compte aux dépens des intérêts du pays et du peuple ». Il a affirmé que « les événements au Liban et dans la région prennent une tournure en notre faveur, ce qui nous place devant un tournant décisif ». « Nous poursuivrons la voie pour parvenir au Liban que nous désirons et je rassure les chrétiens sur leur sort, même si quelques leaders ghadanfariens (en allusion à l’ambassadeur iranien), qui se sont alliés avec les Syriens depuis plus de trente ans, nous menacent des répercussions négatives qu’aurait la chute du régime Assad et veulent nous faire croire que nous sommes faibles et minoritaires », a-t-il affirmé. Il a par ailleurs critiqué les propos d’un dirigeant politique qu’il n’a pas nommé, qui avait estimé que le régime Assad était laïc, s’interrogeant : « Comment un régime peut-il être laïc quand la quasi-totalité des postes officiels sont entre les mains d’une seule communauté, et que ce régime a causé la mort de plus de 100 000 Syriens ? »
M. Geagea a estimé que « les événements en Syrie s’accélèrent et que le régime tombera bientôt ». « Ses suiveurs au Liban tomberont aussi et nous obligerons ceux qui portent les armes à les livrer par les moyens politiques », a-t-il dit, soulignant que « si l’armée syrienne a bien quitté le Liban en 2005, ses représentants sont toujours sur la scène libanaise, œuvrant pour leur propre compte aux dépens des intérêts du pays et du peuple ». Il a affirmé que « les événements au Liban et dans la région prennent une tournure en notre faveur, ce qui nous place devant un tournant décisif ». « Nous poursuivrons la voie pour parvenir au Liban que nous désirons et je rassure les chrétiens sur leur sort, même si quelques leaders ghadanfariens (en allusion à l’ambassadeur iranien), qui se sont alliés avec les Syriens depuis plus de trente ans, nous menacent des répercussions négatives qu’aurait la chute du régime Assad et veulent nous faire croire que nous sommes faibles et minoritaires », a-t-il affirmé. Il a par ailleurs critiqué les propos d’un dirigeant politique qu’il n’a pas nommé, qui avait estimé que le régime Assad était laïc, s’interrogeant : « Comment un régime peut-il être laïc quand la quasi-totalité des postes officiels sont entre les mains d’une seule communauté, et que ce régime a causé la mort de plus de 100 000 Syriens ? »
Le chef des Forces libanaises, Samir Geagea, a affirmé hier que « les chrétiens sont au cœur du printemps arabe ». « Notre position est claire à ce propos. Nous appuyons le droit des peuples à décider de leur sort et à vivre en liberté », a indiqué M. Geagea devant une délégation du village de Brih. Il a aussi affirmé que « le camp adverse adopte toujours la...
E X C E L L E N T ! TANT MIEUX ! !
20 h 25, le 13 décembre 2012