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Au 3e étage, notre corédacteur en chef Élie Fayad (au c.) anime la réunion de l’après-midi entre les différents services, dans la salle de conférences. Une salle où l’on célèbre nos joyeuses occasions, mais aussi nos pots de départ avec le cœur serré.

Au 3e étage, notre corédacteur en chef Élie Fayad (au c.) anime la réunion de l’après-midi entre les différents services, dans la salle de conférences. Une salle où l’on célèbre nos joyeuses occasions, mais aussi nos pots de départ avec le cœur serré.

Au 1er étage, Sylva el-Chaer, la gardienne de la mémoire de notre journal, veille sur les archives physiques et numériques de « L’OLJ ».

Au 1er étage, Sylva el-Chaer, la gardienne de la mémoire de notre journal, veille sur les archives physiques et numériques de « L’OLJ ».

Ici, elle classe puis numérise les centaines de photos du journal, notamment celles de la guerre de 1975-1990.

Ici, elle classe puis numérise les centaines de photos du journal, notamment celles de la guerre de 1975-1990.

Au deuxième étage, le bureau d’Élie Fayad est le lieu par excellence des (longs) débats enflammés entre journalistes. Que d’anecdotes sur la première guerre du Golfe, l’époque révolue des dépêches envoyées par fax ou les négociations israélo-palestiniennes de la décennie quatre-vingt-dix que notre coréd chef a couvertes dans sa jeunesse.

Au deuxième étage, le bureau d’Élie Fayad est le lieu par excellence des (longs) débats enflammés entre journalistes. Que d’anecdotes sur la première guerre du Golfe, l’époque révolue des dépêches envoyées par fax ou les négociations israélo-palestiniennes de la décennie quatre-vingt-dix que notre coréd chef a couvertes dans sa jeunesse.

Cette époque, Thérèse Saber l’a connue. Notre « maman à tous », qui était en charge des petites annonces et des nécrologies et qui avait son mot à dire dans la maquette, a dédié près d’un demi-siècle de sa vie au journal. Depuis son décès brutal un 30 décembre 2022, son bureau est resté intact. Mais elle emporte avec elle une part de l’âme du journal.

Cette époque, Thérèse Saber l’a connue. Notre « maman à tous », qui était en charge des petites annonces et des nécrologies et qui avait son mot à dire dans la maquette, a dédié près d’un demi-siècle de sa vie au journal. Depuis son décès brutal un 30 décembre 2022, son bureau est resté intact. Mais elle emporte avec elle une part de l’âme du journal.

À l’étage d’au-dessus, vous trouverez l’open space, l’espace commun le plus animé du journal. Cet endroit où l’équipe des Live News bataille pour se concentrer sur sa couverture du direct, au milieu des odeurs de poulet et sauce à l’ail à l’heure du déjeuner. Un espace qui reste l’un des plus conviviaux du journal.

À l’étage d’au-dessus, vous trouverez l’open space, l’espace commun le plus animé du journal. Cet endroit où l’équipe des Live News bataille pour se concentrer sur sa couverture du direct, au milieu des odeurs de poulet et sauce à l’ail à l’heure du déjeuner. Un espace qui reste l’un des plus conviviaux du journal.

« Bonjour tout le monde ! On commence. » C’est par cette phrase que notre coréd chef Anthony Samrani lance dans cet open space la réunion interservices du matin, avant que chaque journaliste ne commence son travail.

« Bonjour tout le monde ! On commence. » C’est par cette phrase que notre coréd chef Anthony Samrani lance dans cet open space la réunion interservices du matin, avant que chaque journaliste ne commence son travail.

Sur le terrain, notre grande reporter Caroline Hayek, Prix Albert-Londres, rangeant son matériel de protection lors d’un reportage à Tyr, au Liban-Sud, alors que le conflit avec Israël se poursuit en mars 2024.

Sur le terrain, notre grande reporter Caroline Hayek, Prix Albert-Londres, rangeant son matériel de protection lors d’un reportage à Tyr, au Liban-Sud, alors que le conflit avec Israël se poursuit en mars 2024.

Le toit de « L’OLJ », c’est l’espace détente, la pause-café ou pause-cigarette pour certains. Vous y trouverez des journalistes de tous les services, comme Raphaël Abdelnour des Live News.

Le toit de « L’OLJ », c’est l’espace détente, la pause-café ou pause-cigarette pour certains. Vous y trouverez des journalistes de tous les services, comme Raphaël Abdelnour des Live News.

« L’Orient-Le Jour », c’est une cinquantaine de journalistes et environ 100 salariés. Dans le parking d’à peine quelques centaines de mètres carrés, Ali Daoud, notre voiturier aux yeux rieurs, joue tous les jours à Tetris avec les véhicules des employés.

« L’Orient-Le Jour », c’est une cinquantaine de journalistes et environ 100 salariés. Dans le parking d’à peine quelques centaines de mètres carrés, Ali Daoud, notre voiturier aux yeux rieurs, joue tous les jours à Tetris avec les véhicules des employés.

23h, à quelques kilomètres de là, dans un sous-sol d’une rue de Hamra, Ali Salmane et son équipe s’activant pour que la version papier de « L’OLJ » voie le jour aux alentours de minuit.

23h, à quelques kilomètres de là, dans un sous-sol d’une rue de Hamra, Ali Salmane et son équipe s’activant pour que la version papier de « L’OLJ » voie le jour aux alentours de minuit.

« Quand quelqu’un veut éviter de voir sa femme en rentrant la nuit chez lui, il retarde l’impression du journal pour avoir une excuse et rester plus longtemps à l’imprimerie », plaisante Ali Salmane.

« Quand quelqu’un veut éviter de voir sa femme en rentrant la nuit chez lui, il retarde l’impression du journal pour avoir une excuse et rester plus longtemps à l’imprimerie », plaisante Ali Salmane.

Bleu, rouge, jaune, noir… Il faut une multitude d’essais pour calibrer la couleur des photos et de l’encre du journal, sans oublier la netteté des lettres. Un travail minutieux, au milieu de machines imposantes. Et voilà ! Le journal est prêt à être livré aux points de distribution puis aux abonnés.

Bleu, rouge, jaune, noir… Il faut une multitude d’essais pour calibrer la couleur des photos et de l’encre du journal, sans oublier la netteté des lettres. Un travail minutieux, au milieu de machines imposantes. Et voilà ! Le journal est prêt à être livré aux points de distribution puis aux abonnés.