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Culture - Spectacle

En une nuit entre mille, Caracalla danse les contes et conte la danse

La compagnie de danse Caracalla rejoue ses « Mille et une nuits », ni tout à fait les mêmes ni tout à fait différentes, l’énergie, les costumes, les couleurs, les talents des danseurs et jusqu’à la musique ramenant la fraîcheur des premières fois.

En une nuit entre mille, Caracalla danse les contes et conte la danse

Un tableau du spectacle « Mille et une nuits » de la troupe de danse Caracalla. Photo Nabil Ismaïl

Si Shéhérazade réussit à sauver sa peau de la manie meurtrière du roi Chahryar en le tenant en haleine avec ses récits, la compagnie Caracalla parvient pour sa part à conjurer le mal en dansant. Depuis sa création par Abdel Halim Caracalla en 1968, elle n’a jamais chômé, poussant un peu plus loin, à chaque spectacle, les limites de la chorégraphie, des effets scéniques et de la réinvention musicale. Que le Liban soit à l’arrêt, de la pandémie de Covid à la crise financière, à l’accélération de la guerre qui a marqué la fin de l’année 2024, Caracalla danse en tribu, en famille, en dynastie. La troupe danse pour défier sa propre excellence, raviver le patrimoine folklorique de Baalbeck qui lui a donné le jour, dissiper l’acédie mortifère, entretenir la joie du spectacle, emporter son Orient aux confins du monde. Tantôt en Mille et une...
Si Shéhérazade réussit à sauver sa peau de la manie meurtrière du roi Chahryar en le tenant en haleine avec ses récits, la compagnie Caracalla parvient pour sa part à conjurer le mal en dansant. Depuis sa création par Abdel Halim Caracalla en 1968, elle n’a jamais chômé, poussant un peu plus loin, à chaque spectacle, les limites de la chorégraphie, des effets scéniques et de la réinvention musicale. Que le Liban soit à l’arrêt, de la pandémie de Covid à la crise financière, à l’accélération de la guerre qui a marqué la fin de l’année 2024, Caracalla danse en tribu, en famille, en dynastie. La troupe danse pour défier sa propre excellence, raviver le patrimoine folklorique de Baalbeck qui lui a donné le jour, dissiper l’acédie mortifère, entretenir la joie du spectacle, emporter son Orient aux confins...
commentaires (3)

Vu au palais des congrès de paris il y a 30 ans , subliiiiime

Ziad CHOUEIRI

10 h 17, le 26 avril 2025

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Commentaires (3)

  • Vu au palais des congrès de paris il y a 30 ans , subliiiiime

    Ziad CHOUEIRI

    10 h 17, le 26 avril 2025

  • Magnifique troupe, un message artistique et culturel! Un fierte pour le Liban et le monde entier!

    Cadmos

    08 h 46, le 26 avril 2025

  • Super....

    Marie Claude

    08 h 20, le 26 avril 2025

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