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Liban

Le bloc du Futur somme le 8 Mars de désigner son candidat présidentiel au plus tôt

Le bloc du Futur au cours de sa réunion hebdomadaire hier. Photo Dalati et Nohra

Le bloc parlementaire du courant du Futur, qui a tenu hier sa réunion hebdomadaire sous la présidence de Fouad Siniora, a invité le camp du 8 Mars à ne plus tarder à désigner son candidat à l'élection présidentielle.
Dans un communiqué, les participants à la réunion ont souligné que cette échéance constitue une « priorité nationale et constitutionnelle et devrait par conséquent avoir lieu au cours de la prochaine session parlementaire et ce, avant l'expiration du mandat du président Michel Sleiman ».
Les membres du bloc ont souligné à ce propos que le pays a d'autant plus besoin d'élire un nouveau chef de l'État que ce dernier « représente l'unité du pays et veille au respect de la Constitution ». « Par conséquent, le bloc rejette toute vacance à la tête de la première magistrature dans le principe, et plus particulièrement à l'ombre de circonstances aussi sensibles que celles auxquelles sont confrontés actuellement le pays et la région », précise le communiqué du Futur.
Rappelant que le bloc a déjà soutenu et continue de soutenir la candidature du leader des Forces libanaises, Samir Geagea, les députés ont invité le camp du 8 Mars à dévoiler son candidat pour que les parlementaires puissent s'acquitter de leur devoir constitutionnel.
Évoquant par ailleurs le dossier de l'échelle des salaires, ils ont invité le Parlement à trancher cette question, insistant sur la nécessité que le débat soit axé sur « le droit des fonctionnaires publics – administratifs, militaires et enseignants – de manière juste et équitable, tout en préservant l'équilibre requis entre les recettes pour couvrir cette échelle, ses coûts effectifs et son impact sur la stabilité financière et monétaire ».
Et d'insister sur le fait que la décision relative à l'échelle des salaires devrait être prise parallèlement à un panier global de mesures aboutissant à des réformes susceptibles de stimuler la productivité du secteur public et de relancer l'économie nationale.
Les membres du bloc ont enfin dénoncé « la passivité du ministre des Affaires étrangères (Gebran Bassil) qui s'est abstenu de répondre aux propos du conseiller du guide suprême iranien, al-Farik Yahya Rahim Safavi ». Ce dernier, souligne le communiqué, a considéré que « la frontière de son pays se trouve au Liban-Sud, des propos qui sont pour le moins dangereux pour la souveraineté du Liban ».

Le bloc parlementaire du courant du Futur, qui a tenu hier sa réunion hebdomadaire sous la présidence de Fouad Siniora, a invité le camp du 8 Mars à ne plus tarder à désigner son candidat à l'élection présidentielle.Dans un communiqué, les participants à la réunion ont souligné que cette échéance constitue une « priorité nationale et constitutionnelle et devrait par...
commentaires (5)

Ou même, imaginez, le béssîîîl ! Yîîîh !

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

01 h 32, le 15 mai 2014

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Commentaires (5)

  • Ou même, imaginez, le béssîîîl ! Yîîîh !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    01 h 32, le 15 mai 2014

  • Mais qui ça pourrait bien être pardi ? Pourquoi pas kandîîîl, wéhhééébb ou sieur de "Beau" sieur alors ? !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    16 h 00, le 14 mai 2014

  • Cette demande est un ordre , une supplication , ou une suggestion ?. Tout est dans le ton les evanescents .... le Liban aura SON president et non pas celui des autres .

    FRIK-A-FRAK

    12 h 56, le 14 mai 2014

  • C'EST COMME SOMMER QUELQU'UN DE CONFESSER SON CRIME !

    LA LIBRE EXPRESSION

    10 h 29, le 14 mai 2014

  • Gebran Bassil aux AE, c'est comme demander a un bachelier de pondre une these sur la théorie de la relativité. A chacun sa place dans cette république bananier...

    Tabet Karim

    09 h 16, le 14 mai 2014

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