Rechercher
Rechercher

Santé

La Société libanaise de gynécologie et d’obstétrique rassure

Face à la polémique et à la panique déclenchées en France par les contraceptifs oraux de troisième et quatrième générations, la Société libanaise de gynécologie et d’obstétrique appelle « les gynécologues-obstétriciens et médecins de famille à expliquer davantage à la femme les risques accrus d’accidents thromboemboliques que présentent ces pilules ». Contacté par L’Orient-Le Jour, le président de la Société libanaise de gynécologie et d’obstétrique, le Dr Fayçal el-Kak, explique qu’ « il est vrai que le risque est accru, mais il reste minime et rare, surtout chez les femmes qui n’ont pas d’histoire familiale ou d’autres facteurs de risque ». Il rappelle en outre que la pilule ne peut pas être prise sans avis médical.
Face à la polémique et à la panique déclenchées en France par les contraceptifs oraux de troisième et quatrième générations, la Société libanaise de gynécologie et d’obstétrique appelle « les gynécologues-obstétriciens et médecins de famille à expliquer davantage à la femme les risques accrus d’accidents thromboemboliques que présentent ces pilules ». Contacté par...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut