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Lifestyle - Le Weekender

Un âne, une célèbre Libanaise à Cannes et une critique gastronomique sont au menu du Weekender

On vous parle aussi du dernier livre de Dominique Eddé ; de trois fleuristes emblématiques de Beyrouth ; et du secteur de l'industrie pharmaceutique en plein essor.

Un âne, une célèbre Libanaise à Cannes et une critique gastronomique sont au menu du Weekender

Illustration Jaimee-Lee Haddad / L'Orient-Le Jour

Dans Le Weekender, L’Orient-Le Jour vous propose une sélection d’articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d’une actualité vraiment sombre ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.

Nadine Labaki lors d’une conférence de presse au Festival de Cannes en 2018. Photo AFP

Nadine Labaki rejoint le jury du prochain Festival de Cannes

À deux semaines du lancement de la 77e édition du Festival de Cannes, qui se tiendra du 14 au 25 mai, le comité a annoncé cette semaine la composition du jury de sa sélection officielle. On y retrouvera notamment la Libanaise Nadine Labaki, cinq ans après qu'elle ait présidé le jury Un Certain Regard, compétition parallèle récompensant les films d’auteurs. Karl Richa nous parle de l'actrice et réalisatrice de Caramel.

Le restaurant Cézanne à Dbayé. Photo C.C.

Cézanne c’est beau, c’est bon…

Après quatre ans d’absence, Cordon Courtine (CC), notre critique gastronomique, reprend du service. Son objectif : dégainer sa plume critique pour éclairer et défendre les clients. Sous couvert d’anonymat, CC se rend à plusieurs reprises dans chaque restaurant critiqué et teste l’intégralité du menu. Il garde aussi un regard aiguisé sur la décoration et le service. Pour cette première critique, Cordon Courtine vous emmène à Cézanne, un restaurant situé à Dbayé. Découvrez son verdict !

Une vue de l’exposition « Portrait of Beirut » de Hala Ezzeddine à la galerie Saleh Barakat. Photo DR

En galerie cette semaine : des histoires d’âne, d’enfance en exil et le portrait de Beyrouth

Zéna Zalzal a arpenté les galeries beyrouthines pour en retenir une sélection de trois expositions à découvrir d'urgence : de la peinture avec Hala Ezzeddine et ses portraits de Beyrouth ; un petit âne noir à retrouver dans de multiples états, par Sadik Kwaish Alfraji ; et des dessins, photomontages, sculptures en bronze ou encore tapisseries faites main racontant l'enfance de Sara Badr Schmidt.

Le Mikado, rue Salim Bustros à Achrafieh. Photo Michèle Aoun

Takkoush, Le Mikado et Exotica, trio des fleuristes emblématiques de Beyrouth

Un restaurant, un hôtel, un bar, une boutique, une plage... Une fois par mois, Gilles Khoury vous emmène à la (re)découverte d’un endroit inscrit, d’une manière ou d’une autre, dans la mémoire collective libanaise. À travers l’histoire de ces lieux, il vous raconte pourquoi ils sont, encore aujourd'hui, aussi cultes. Pour le dix-septième numéro, trois fleuristes mythiques de Beyrouth : Le Mikado, Takkoush et Exotica.

« Grand Liban », ça sort d'où ?

A l'occasion de son centenaire, L'Orient-Le Jour vous propose de revisiter ses archives ! L'idée : parcourir la petite histoire, pour raconter la grande. Dans ce deuxième épisode, Raphaël Abdelnour se penche sur l'expression « Grand Liban », qui désigne le pays du Cèdre dans ses frontières actuelles. D'où vient cette expression, alors que le pays est si petit ?

Et pour retrouver tous les articles liés à notre centenaire, pensez à notre site dédié : www.lorientlejour.com/le-siecle 

Si vous avez raté le Weekender de la semaine dernière

Une enquête inédite, Metropolis à Beyrouth et du fat-freezing sont au menu de notre Weekender

L’usine Pharmaline à Nahr Ibrahim, au Liban, le 11 mars 2024. João Sousa/L’Orient Today

L’industrie pharmaceutique, un secteur en plein essor dans une économie libanaise en ruine

Quatre ans et demi après le début de l’effondrement économique au Liban, une importante partie des secteurs économiques du pays et de ses industries se retrouve décimée. Certaines tirent néanmoins leur épingle du jeu. L’industrie pharmaceutique locale, dont les producteurs se sont mis à pallier les lacunes du marché autrefois comblées par des médicaments importés, en est un parfait exemple. Stéphanie Bechara vous en parle.

L’écrivaine Dominique Eddé. Photo Albin Michel

Dans le clair-obscur du « Palais Mawal », Dominique Eddé fait surgir les monstres

C'est un roman qui parle beaucoup d’amour, de son naufrage et de son sauvetage. Mais le sujet qui le sous-tend est le Liban, un Liban qui, jour après jour, tombe en miettes et change de peau. Un Liban où tout continue mais rien ne marche. Fifi Abou Dib a lu le dernier livre de Dominique Eddé, Le Palais Mawal, dans lequel se joue un drame aux accents universels.

Après une scolarisation au collège Saint-Joseph de Aïntoura, Elsa Mhanna fait sa médecine à l’USEK, avant d’achever sa spécialité de neurologie à la Pitié Salpêtrière à Paris. Photo DR

Égalité des genres, fin de vie... Elsa Mhanna, neurologue libano-française engagée

Mi-avril, la professeure Karine Lacombe, cheffe de service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine de Paris, révèle l'identité de celui qu’elle accuse de « harcèlement sexuel et moral » : Patrick Pelloux. Le monde médical en France est secoué, marquant le début d’un MeToo de l’hôpital. L’un des visages de ce mouvement est celui d’une neurologue franco-libanaise : Elsa Mhanna, 36 ans. Joséphine Hobeïka dresse son portrait.

Dans Le Weekender, L’Orient-Le Jour vous propose une sélection d’articles à (re)lire durant le week-end. Pour faire une pause, déconnecter (un peu) d’une actualité vraiment sombre ou encore découvrir de belles initiatives libanaises.Nadine Labaki lors d’une conférence de presse au Festival de Cannes en 2018. Photo AFPNadine Labaki rejoint le jury du prochain Festival de CannesÀ...
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