Dans la nuit de lundi à mardi, l'armée israélienne a effectué des incursions en territoire libanais. Jalaa Marey/AFP
Avant d'entrer en territoire libanais, l’aviation israélienne a d’abord mené une série de frappes aériennes visant plusieurs localités réparties dans toute la région du Liban-Sud. Jalaa Marey/AFP
Des responsables israéliens ont déclaré à Axios que cette incursion, qui a débuté vers 2h du matin, serait « ciblée et limitée dans le temps et l’ampleur, et n’est pas destinée à occuper le sud du Liban ». Jalaa Marey/AFP
Un peu plus de deux heures avant cette incursion, l'armée israélienne a opéré huit nouvelles frappes sur la banlieue sud de Beyrouth. Fadel Itani/AFP
Le bilan de ces bombardements, dont certains ont été entendus dans Beyrouth et la région, n'était pas connu lundi matin tôt. Amr Abdallah Dalsh/Reuters
Face à l'escalade de ces violences, de nombreux pays ont annoncé des mesures pour permettre à leurs ressortissants qui le souhaitent de quitter le Liban. Amr Abdallah Dalsh/Reuters
Dans la nuit, l’aviation israélienne a également mené une frappe inédite sur le camp de réfugiés palestiniens de Aïn el-Héloué, en bordure de Saïda, visant le chef des Brigades des Martyrs d'Al-Aqsa, branche armée du Fateh, Mounir Maqdah, qui aurait échappé à cette tentative d’assassinat. Mahmoud Zayyat/AFP
Selon un premier bilan, cette frappe a fait au moins six morts, dont le fils de Hassan Maqdah, trois enfants et plusieurs blessés. Mahmoud Zayyat/AFP
Lundi, au petit matin, les habitants découvraient les ruines des bâtiments frappés par l'armée israélienne pendant la nuit, comme ici dans le quartier de Laylaki, dans la banlieue sud de Beyrouth. Anwar Amro/AFP
Tandis que de la fumée s'élevait toujours au-dessus de la banlieue sud de Beyrouth, non loin de l'aéroport international de Beyrouth. Amr Abdallah Dalsh/Reuters