Nous republions ce reportage suite à l'annonce, le 22 novembre 2024, par le ministère libanais de la Santé, de la mort de Ali Alam, directeur de l'hôpital Deir el-Amal tué par une frappe israélienne sur Douris avec six autres employés de l'hôpital.
Derrière les portes d'un hôpital à l'entrée de Baalbeck, à l'est du Liban, l'enfer de la guerre est visible partout : sur les visages des blessés, qui crient de douleur et de tristesse, sur ceux des familles dans les salles d'attente ainsi que dans les yeux des soignants, en première ligne. Situé dans la zone d'évacuation ordonnée par Israël le 30 octobre, cet établissement est toujours ouvert pour accueillir les victimes du conflit. « C'est notre mission », affirme le directeur médical.
L'Orient-Le Jour se plonge dans le tragique quotidien de cet hôpital au bord du précipice, au milieu d'une région quotidiennement bombardée par l'armée israélienne.
40 ans d installation de ce groupe terroriste au Liban...et personne dans L état ou l armée n a relevé ce point? ou "on "tuait" les dissidents?
08 h 22, le 23 novembre 2024