Dix-huit points finalisés sur la ligne bleue
Le commandement de l’armée a annoncé hier que dans le cadre de la redéfinition de la ligne bleue, le comité exécutif de l’armée et l’équipe de topographes des forces de la Finul ont finalisé cette semaine dix-huit points situés face aux villages de Dhaira et Markaba.
La SG arrête un Jordanien qui espionnait le général Ibrahim
La Sûreté générale (SG) a arrêté un homme jordano-palestinien qui espionnait le directeur général de la SG, le général Abbas Ibrahim, même avant sa nomination à la tête de la SG.
L’enquête préliminaire a montré que le prévenu épiait les mouvements du général Ibrahim pour le compte d’une partie jordanienne, dont il a communiqué le nom et l’adresse aux autorités concernées.
Diplomatie
Des ambassadeurs francophones regrettent la fermeture de « La Revue du Liban »
Les ambassadeurs de Belgique, de France, du Maroc, de Roumanie, de Suisse et de Tunisie ont publié un communiqué conjoint regrettant « la cessation de la parution de La Revue du Liban ».
Depuis sa création en 1928 à Paris, « cette revue n’a, depuis, cessé de paraître et elle est devenue une institution de la vie médiatique, politique, culturelle et mondaine libanaise », note le communiqué.
« Incontournable au Liban, cette revue était également appréciée des Libanais résidant à l’étranger, pour lesquels elle a longtemps constitué un lien vivant avec le Liban, ajoute le texte. Au-delà, La Revue du Liban participait au rayonnement de la francophonie en Afrique du Nord et au Proche-Orient. »
« Récipiendaire du prix de l’Académie française et du prix de l’Organisation internationale de la francophonie, La Revue du Liban témoigne de la vigueur de la francophonie au pays du Cèdre », poursuit le communiqué, qui conclut : « En tant qu’ambassadeurs de pays francophones, nous souhaitons qu’une solution puisse être trouvée pour que cet hebdomadaire puisse rapidement reprendre sa parution. »
Achkar chez le ministre Nazem Khoury
Massoud Achkar s’est rendu hier chez le ministre de l’Environnement Nazem Khoury avec qui il a évoqué un certain nombre de questions à caractère écologique qui se posent à la population de Beyrouth, notamment à Achrafieh. Le ministre de l’Environnement s’est engagé à trouver des solutions aux problèmes soulevés.
commentaires (3)
A moi de vous épingler Mr Pierre H., on parle d'accord et on est d'accord qu'il faille un ou des accords, mais pas de TRAITE à signer, comme l'ont fait l'Egypte et la Jordanie, et qu'ils regrettent amèrement.La Syrie ne l'a heureusement pas fait. Et encore c'est accord par intermédiaire et non direct. Prudence et nuance.
Jaber Kamel
04 h 29, le 07 octobre 2011