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Liban

Aoun : Geagea est le bienvenu à Rabieh...

Le chef du bloc du Changement et de la Réforme et du Courant patriotique libre, le député Michel Aoun, a affirmé hier que « le problème n'est pas dans l'élection d'une personne à la présidence de la République, mais réside dans l'élection et la préservation de la République ».
« C'est sur cette base que je suis prêt à négocier avec qui que ce soit. Sinon, je reste dans la course », a souligné le général Aoun, dans une déclaration à l'issue de la réunion de son bloc parlementaire à Rabieh, estimant que « plus rien n'est respectable dans le pays, ni le pouvoir central ni le pouvoir financier ». « Je suis prêt à négocier pour la République, et celui qui est prêt à négocier avec moi est le bienvenu », a-t-il noté.
« C'est sur le territoire libanais que le problème devrait être résolu, pas à l'étranger. Mon combat restera, jusqu'à la dernière minute, contre toute ingérence étrangère dans l'intérêt de l'étranger et pas dans l'intérêt du Liban », a poursuivi le chef du Courant patriotique libre. « Ceux qui souhaitent négocier avec nous sont les bienvenus. Nous y sommes prêts et notre histoire, notre parole et notre vie professionnelle constituent une garantie pour les citoyens », a-t-il ajouté.
Interrogé sur la possibilité d'une négociation avec le candidat à l'élection présidentielle du 14 Mars, le chef des Forces libanaises Samir Geagea, Michel Aoun a répondu : « S'il veut venir (à Rabieh), il est le bienvenu. » Se rendrait-il à Maarab pour d'éventuels pourparlers avec M. Geagea ? À cette question, M. Aoun a répondu : « Pourquoi Maarab ne viendrait pas chez moi? Si (M. Geagea) vient, il est le bienvenu. »
Au début de sa conférence de presse, le général Aoun a évoqué les différentes facettes de ce qu'il a qualifié de « régression dans l'exercice du pouvoir » depuis son retour au Liban, en mai 2005, stigmatisant notamment « l'absence de parité et le déséquilibre confessionnel à la Chambre », le fait que « les lois électorales successives adoptées ne soient pas respectueuses de l'esprit de l'accord de Taëf », ou encore « la non-application de la décentralisation administrative élargie ou du développement équilibré ».

Le chef du bloc du Changement et de la Réforme et du Courant patriotique libre, le député Michel Aoun, a affirmé hier que « le problème n'est pas dans l'élection d'une personne à la présidence de la République, mais réside dans l'élection et la préservation de la République ».« C'est sur cette base que je suis prêt à négocier avec qui que ce soit. Sinon, je reste dans la...

commentaires (2)

WALLA 7ARAM HAL BALAD ! 7ARAM ! DE "TANT-PIS" ET DE "S'EN-FOUT".... ON S'EN FOUT ! ON S'EN FOUT ! ON S'EN FOUT ! ARRÊTEZ L'HÉBÉTUDE ! DE GRACE ! TOUS LES DEUX DÉGAGEZ ! LAISSEZ CE PAUVRE PAYS RESPIRER ENFIN ! FOSSOYEURS... FOSSOYEURS... FOSSOYEURS !!!

LA LIBRE EXPRESSION

19 h 20, le 10 décembre 2014

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Commentaires (2)

  • WALLA 7ARAM HAL BALAD ! 7ARAM ! DE "TANT-PIS" ET DE "S'EN-FOUT".... ON S'EN FOUT ! ON S'EN FOUT ! ON S'EN FOUT ! ARRÊTEZ L'HÉBÉTUDE ! DE GRACE ! TOUS LES DEUX DÉGAGEZ ! LAISSEZ CE PAUVRE PAYS RESPIRER ENFIN ! FOSSOYEURS... FOSSOYEURS... FOSSOYEURS !!!

    LA LIBRE EXPRESSION

    19 h 20, le 10 décembre 2014

  • Le caporal du boSSfaïr amer veut remplir à tout prix son panier et sa besace ! C’est quelqu'un qui dans son passé, n'a jamais fait preuve d'un quelconque intérêt pour les domaines tant du vrai Changement que de la vrai Réforme ; mais rêve d’avoir la haute main sur tout ce qui dans ce pays contrôle et gère en matière d’administrations, de ministères etc. et surtout…. de Présidence ; ce qui n'est tout de même pas rien ! A sa place au Bigaradier, n’importe qui aurait le trac. Car imaginons que le peuple de l’incorruptibilité et du dévouement à "La Chose Publique" le somme de dire "s’il songe!", lui et ses "collègues" changementaux, à une politique soi-disant réformatrice dans l'acception la plus ambitieuse du terme. Et comment il exigera, lui, de la ranimer cette "Chose" et la réinventer ; lui, simple bigaradier avec l’aide de ses soi-disant comportementaux collègues réformés. Le plus déplaisant dans cette "rafle que l'épigone mène pour remplir donc son cartable orange, est qu’il montre 1 méconnaissance totale de ce banal "Monde au Service de l’État" qui lui restera toujours allogène, provenant d’un tout autre monde définitivement o c c u l t e. Un brelan Incorruptibilité-Dévouement-Intégrité, amalgame si négligeable sans doute pour sa "superbe" suffisante insignifiance, qu'il ne constitue qu'un bête ajout ; dont on leste sa musette…. ou son barda pour faire bon poids !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    18 h 18, le 10 décembre 2014

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