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Liban

Berry : Combattre le terrorisme est une responsabilité arabe et internationale commune

Pour le 36e anniversaire de la disparition de l'imam Moussa Sadr et de ses compagnons, le président de la Chambre Nabih Berry a adressé un message aux Libanais, dans lequel il a notamment insisté sur l'élection d'un chef de l'État et plaidé en faveur d'une mobilisation internationale contre le terrorisme.
Après avoir exposé l'évolution des efforts menés pour déterminer le sort de l'imam Sadr et de ses compagnons enlevés en Libye, M. Berry a souligné la priorité que représente l'élection d'un nouveau président, en insistant sur le fait que « la confiance du monde dans l'État restera ébranlée si celui-ci n'arrive pas à se doter d'un chef ». Il a dans le même temps mis l'accent sur l'importance de l'échéance présidentielle à l'heure où le Liban fait face à une sérieuse menace terroriste « transfrontalière ». « Ces menaces, nous les avons senties et vécues, tantôt sous forme de crise de réfugiés, et tantôt sous forme d'attentats et d'attaques comme à Ersal ou encore d'affrontements tels que ceux qui se sont produits à Tripoli et à Saïda », a-t-il dit.
Après avoir plaidé pour une consécration de l'unité nationale et de la coexistence, il a jugé nécessaire de montrer au monde qu'il est possible de préserver la diversité dans l'unité, qu'il a considérée comme étant indispensable pour pouvoir faire face au terrorisme. « Combattre le terrorisme n'est pas seulement une affaire militaire ou de sécurité, mais une question intellectuelle, culturelle nationale commandant une mobilisation et une culture nationales. Combattre le terrorisme takfiriste n'est pas une responsabilité sunnite, tout comme la résistance aux agressions israéliennes n'est pas une responsabilité chiite. Combattre l'exode des minorités n'est pas non plus une responsabilité chrétienne. Faire face au terrorisme, aux agressions et au déplacement de populations est une responsabilité nationale commune, exprimée par l'État. Il faut que ce soit aussi une responsabilité arabe et internationale commune », a poursuivi M. Berry qui a dénoncé le silence international « suspect » face à la progression des mouvements terroristes.

Pour le 36e anniversaire de la disparition de l'imam Moussa Sadr et de ses compagnons, le président de la Chambre Nabih Berry a adressé un message aux Libanais, dans lequel il a notamment insisté sur l'élection d'un chef de l'État et plaidé en faveur d'une mobilisation internationale contre le terrorisme.Après avoir exposé l'évolution des efforts menés pour déterminer le sort de l'imam...

commentaires (4)

Le Béret trouve 2 raisons à l'erreur de la "foule" Saine qui le tenait pour 1 des siens. On a eu le tort de ne point concevoir son "patriotisme comme Sadriste pur", et commettre l'erreur inverse de concevoir le patriotisme libanais comme 1 mouvement "à béret pur". Il ne fait de doute que cette "foule" avait tort, ne fût-ce que parce qu’elle commettait 2 erreurs qui s'excluaient. Le Béret crie à tous ceux qui ont raillé sa "pensée" en béret en la traitant de "savante" : Citez ne fût-ce qu'1 seule époque à qui elle n'ait pas tracé par avance son cours, et qui n'ait pas été forcée de conclure son ébranlement par 1 trait de "plume" niaise à béret pareille ! Dans sa naïveté en béret, le béret sépare "la plume" du sujet qui écrit, et le sujet qui écrit ; considéré comme "abstrait" ; du "vivant" à béret qui a écrit. Et s'emballe en parlant de la force "miraculeuse de sa plume" pour bérets. Il aurait pu tout aussi bien demander qu'on lui nomme 1 époque dont le cours n'ait pas été tracé d'avance par sa "belle gent en bérets emplumés". Il apprendra + tard aux libanais mahééék, qu'il n'y a pas 1 seule de ces époques qui ait été comprise. Comment alors "sa plume" pour bérets qui n'a pu décrire après coup une seule époque, eût-elle été capable de les décrire toutes d'avance ? Il n'en démontre pas moins par la sournoiserie la "justesse" de son point de vue inconsistant même en béret. Il décrit par avance, d'1 "trait de plume" apologétique puîné, son propre passé en béret abaissé.

ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

14 h 59, le 01 septembre 2014

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Commentaires (4)

  • Le Béret trouve 2 raisons à l'erreur de la "foule" Saine qui le tenait pour 1 des siens. On a eu le tort de ne point concevoir son "patriotisme comme Sadriste pur", et commettre l'erreur inverse de concevoir le patriotisme libanais comme 1 mouvement "à béret pur". Il ne fait de doute que cette "foule" avait tort, ne fût-ce que parce qu’elle commettait 2 erreurs qui s'excluaient. Le Béret crie à tous ceux qui ont raillé sa "pensée" en béret en la traitant de "savante" : Citez ne fût-ce qu'1 seule époque à qui elle n'ait pas tracé par avance son cours, et qui n'ait pas été forcée de conclure son ébranlement par 1 trait de "plume" niaise à béret pareille ! Dans sa naïveté en béret, le béret sépare "la plume" du sujet qui écrit, et le sujet qui écrit ; considéré comme "abstrait" ; du "vivant" à béret qui a écrit. Et s'emballe en parlant de la force "miraculeuse de sa plume" pour bérets. Il aurait pu tout aussi bien demander qu'on lui nomme 1 époque dont le cours n'ait pas été tracé d'avance par sa "belle gent en bérets emplumés". Il apprendra + tard aux libanais mahééék, qu'il n'y a pas 1 seule de ces époques qui ait été comprise. Comment alors "sa plume" pour bérets qui n'a pu décrire après coup une seule époque, eût-elle été capable de les décrire toutes d'avance ? Il n'en démontre pas moins par la sournoiserie la "justesse" de son point de vue inconsistant même en béret. Il décrit par avance, d'1 "trait de plume" apologétique puîné, son propre passé en béret abaissé.

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    14 h 59, le 01 septembre 2014

  • MAINTENANT LES INGÉRENCES INTERNATIONALES SONT SOUHAITÉES... OU PLUTÔT IMPLORÉES ! LES AIGUILLES TOURNENT À L'ENVERS...

    LA LIBRE EXPRESSION

    10 h 30, le 01 septembre 2014

  • QUAND çA NOUS SIED...

    LA LIBRE EXPRESSION

    09 h 27, le 01 septembre 2014

  • Blablabla.... Il ne nous apprend rien de nouveau.

    Tabet Karim

    09 h 02, le 01 septembre 2014

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