Commentant les derniers événements sécuritaires qui ont secoué le Liban, le député Hassan Fadlallah, du bloc du Hezbollah, a considéré qu’« il est impossible de justifier que la moindre goutte de sang coule au Liban dans un conflit quelconque », et que « toute arme utilisée à des fins politiques n’est pas à sa place ». Il a estimé que les armes qui sont aux mains de différentes factions au Nord « doivent avoir pour seul objectif l’ennemi israélien et ne doivent pas se retrouver en Syrie pour alimenter la discorde ou servir à aggraver les conflits internes au Liban ».
Le député a demandé « que se tienne une table de dialogue pour discuter de la finalité de ces armes ». Il a affirmé que « les armes de la résistance ne servent qu’à protéger le Liban et le défendre ». « Tous ces débats qui sont ouverts au Liban n’ont aucune incidence sur elles, a-t-il ajouté. Preuve en est, la résistance continue de travailler loin de tout ce tumulte interne. »
Pour sa part, le ministre Hussein Hajj Hassan, du même bloc, a fait remarquer que « la région traverse des circonstances très délicates et graves du fait du complot mené par certains pays occidentaux et soutenu par des partis politiques locaux ». Ce complot, selon lui, passe par trois phases : d’une part, faire oublier la cause palestinienne, d’autre part, morceller la région en mini-États, partis, communautés et confessions qui se font la guerre, et enfin affaiblir les forces qui veulent lutter véritablement pour la souveraineté, la liberté et l’indépendance.
Et de conclure : « Malgré toutes les difficultés, nous sommes convaincus que le choix de la résistance est le bon et qu’il nous apportera la victoire. »
Enfin, cheikh Mohammad Yazbeck, haut responsable du Hezbollah, a affirmé que « le grand complot contre la Syrie n’a pas pour objectif les réformes, mais compte mettre un terme à la résistance et la moumanaa dans cette partie du monde ». « Nos ennemis ne veulent pas que nous soyons forts, ni que nous ressentions de la dignité ou de la fierté », a-t-il poursuivi, ajoutant qu’il ne doutait pas de la victoire finale.
Le député a demandé « que se tienne une table de dialogue pour discuter de la finalité de ces armes ». Il a affirmé que « les armes de la résistance ne servent qu’à protéger le Liban et le défendre ». « Tous ces débats qui sont ouverts au Liban n’ont aucune incidence sur elles, a-t-il ajouté. Preuve en est, la résistance continue de travailler loin de tout ce tumulte interne. »
Pour sa part, le ministre Hussein Hajj Hassan, du même bloc, a fait remarquer que « la région traverse des circonstances très délicates et graves du fait du complot mené par certains pays occidentaux et soutenu par des partis politiques locaux ». Ce complot, selon lui, passe par trois phases : d’une part, faire oublier la cause palestinienne, d’autre part, morceller la région en mini-États, partis, communautés et confessions qui se font la guerre, et enfin affaiblir les forces qui veulent lutter véritablement pour la souveraineté, la liberté et l’indépendance.
Et de conclure : « Malgré toutes les difficultés, nous sommes convaincus que le choix de la résistance est le bon et qu’il nous apportera la victoire. »
Enfin, cheikh Mohammad Yazbeck, haut responsable du Hezbollah, a affirmé que « le grand complot contre la Syrie n’a pas pour objectif les réformes, mais compte mettre un terme à la résistance et la moumanaa dans cette partie du monde ». « Nos ennemis ne veulent pas que nous soyons forts, ni que nous ressentions de la dignité ou de la fierté », a-t-il poursuivi, ajoutant qu’il ne doutait pas de la victoire finale.
Commentant les derniers événements sécuritaires qui ont secoué le Liban, le député Hassan Fadlallah, du bloc du Hezbollah, a considéré qu’« il est impossible de justifier que la moindre goutte de sang coule au Liban dans un conflit quelconque », et que « toute arme utilisée à des fins politiques n’est pas à sa place ». Il a estimé que les armes qui sont aux...
commentaires (3)
Par un tour de baguette les fauteurs de troubles deviennent des victimes, et les victimes des fauteurs de trouble. Il ne peut justifier que la moindre goutte de sang coule au Liban ! Grandeur d'âme ! Et le 7 Mai 2008 ? C'est de l'EAU qui a coulé ? Les armes ne doivent point être employées à l'intérieur ! Qu'est-ce qu'il comprend par "intérieur" ? Sept Mai 2008 ? Éviction du gouvernement légal par coup d'Etat à la douce ? Familles, clans et bandes avec armes et cagoules dans les rues de Beyrouth ? Se taire pour les 24 charges explosives de Samaha ? Nos ESPIONS NE SONT PAS DES ESPIONS ! Ceux des autres le sont ! Voilà où en sont les Grands Résistants et Supporteurs des Peuples Opprimés ! On le voit en Syrie. LA RIGOLADE ? C'est qu'il croit ce qu'il dit...
SAKR LEBNAN
02 h 42, le 28 août 2012