Michel Pharaon, député de Beyrouth I, a appelé hier à la reprise du dialogue et à « l’unification des armes », afin de faire triompher à nouveau au Liban le concept de « ni vainqueur ni vaincu ».
M. Pharaon s’exprimait lors d’une cérémonie à l’hippodrome de Beyrouth, à l’occasion de la remise de la Coupe portant le nom de son père défunt, l’ancien ministre Pierre Pharaon, en présence des députés Tammam Salam, Nadim Gemayel, Henri Hélou et Nabil de Freige, de membres du conseil municipal de Beyrouth, des moukhtars d’Achrafieh, Rmeil et Saïfi, et de nombreuses autres personnalités.
Au cours de l’histoire, « cet espace (l’hippodrome) a joué un rôle essentiel dans la réunification des gens sous le slogan de “ni vainqueur ni vaincu”, et de “ni est ni ouest” », a lancé le député. « Ce slogan avait été celui des hommes de la première indépendance, à l’instar d’Henri Pharaon, de Saëb Salam et d’autres. Il restera le nôtre et celui des martyrs de la seconde indépendance », a-t-il dit.
« La bataille pour la souveraineté et l’indépendance se poursuit en ce moment précis tout comme le combat pour la justice, qui ne s’est pas achevé avec le financement du tribunal international sous la pression et les menaces », a-t-il souligné.
« Hélas, le pays est géré aujourd’hui par le donnant-donnant, la pression, la provocation, le chantage et le recours à la menace. On l’entraîne dans des axes à l’écart des orientations arabes au lieu d’y instaurer un climat de dialogue et de coopération dans l’intérêt national supérieur, de façon à le soustraire aux effets des conflits en cours », a ajouté M. Pharaon.
« Plus que jamais nous avons besoin aujourd’hui de coopération, de dialogue et d’entente sur l’avenir, sur l’unification des armes et sur un retour au slogan de “ni vainqueur ni vaincu” », a-t-il conclu.
M. Pharaon s’exprimait lors d’une cérémonie à l’hippodrome de Beyrouth, à l’occasion de la remise de la Coupe portant le nom de son père défunt, l’ancien ministre Pierre Pharaon, en présence des députés Tammam Salam, Nadim Gemayel, Henri Hélou et Nabil de Freige, de membres du conseil municipal de Beyrouth, des moukhtars d’Achrafieh, Rmeil et Saïfi, et de nombreuses autres personnalités.
Au cours de l’histoire, « cet espace (l’hippodrome) a joué un rôle essentiel dans la réunification des gens sous le slogan de “ni vainqueur ni vaincu”, et de “ni est ni ouest” », a lancé le député. « Ce slogan avait été celui des hommes de la première indépendance, à l’instar d’Henri Pharaon, de Saëb Salam et d’autres. Il restera le nôtre et celui des martyrs de la seconde indépendance », a-t-il dit.
« La bataille pour la souveraineté et l’indépendance se poursuit en ce moment précis tout comme le combat pour la justice, qui ne s’est pas achevé avec le financement du tribunal international sous la pression et les menaces », a-t-il souligné.
« Hélas, le pays est géré aujourd’hui par le donnant-donnant, la pression, la provocation, le chantage et le recours à la menace. On l’entraîne dans des axes à l’écart des orientations arabes au lieu d’y instaurer un climat de dialogue et de coopération dans l’intérêt national supérieur, de façon à le soustraire aux effets des conflits en cours », a ajouté M. Pharaon.
« Plus que jamais nous avons besoin aujourd’hui de coopération, de dialogue et d’entente sur l’avenir, sur l’unification des armes et sur un retour au slogan de “ni vainqueur ni vaincu” », a-t-il conclu.
Michel Pharaon, député de Beyrouth I, a appelé hier à la reprise du dialogue et à « l’unification des armes », afin de faire triompher à nouveau au Liban le concept de « ni vainqueur ni vaincu ».M. Pharaon s’exprimait lors d’une cérémonie à l’hippodrome de Beyrouth, à l’occasion de la remise de la Coupe portant le nom de son père défunt, l’ancien ministre Pierre...