Comme chaque année à la veille de la fête de l’Indépendance, célébrée le 22 novembre, des cérémonies traditionnelles ont été organisées dans l’ensemble des régions du pays afin de rendre hommage aux pères de l’Indépendance de 1943.
Des représentants officiels du président de la République, Michel Sleiman, du chef du législatif, Nabih Berry, et du Premier ministre, Nagib Mikati, ont déposé, comme à l’accoutumée, des gerbes de fleurs sur les tombes ou mausolées de Saëb Salam, Fouad Chéhab, Hamid Frangié (en présence, notamment, de l’ancien député Samir Frangié), Camille Chamoun (en présence du député Dory Chamoun), Pierre Gemayel (en présence du leader des Kataëb, le président Amine Gemayel), Béchara el-Khoury (en présence de cheikh Michel Béchara el-Khoury), Sélim Takla, Adnane Hakim, Riad Solh (en présence de l’ancienne ministre Leila Solh Hamadé), Habib Abi Chahla, Sabri Hamadé, Magid Arslane (en présence du député Talal Arslane), Adel Osseirane, Abdel Hamid Karamé (en présence de l’ancien Premier ministre Omar Karamé). Des gerbes de fleurs ont également été déposées au nom des trois pôles du pouvoir sur la tombe de Rafic Hariri, à la place des Martyrs du centre-ville, en présence de plusieurs députés et pôles du courant du Futur.
Parallèlement, des cérémonies et des défilés ont été organisés dans différentes casernes de l’armée aux quatre coins du pays, notamment au siège du commandement de l’armée, à Yarzé. Le ministre de la Défense, Fayez Ghosn, a fait à cette occasion une déclaration dans laquelle il a notamment évoqué la conjoncture présente dans la région, mettant l’accent sur les dangers d’ordre sécuritaire qui menacent le pays du fait des troubles qui secouent nombre de pays arabes. Le ministre Ghosn a notamment souligné le rôle crucial que l’armée est appelée à assumer dans un tel contexte afin de préserver la stabilité interne et la paix civile.
Notons dans ce cadre que comme chaque année, les célébrations de la fête de l’Indépendance ont été précédées parallèlement, le 21 novembre, de cérémonies marquant la fête du Drapeau, organisées dans les écoles et les diverses universités du pays. Les cours sont suspendus à cette occasion en début de journée pour hisser le drapeau, et les élèves sont appelés à entonner l’hymne national. La plupart des écoles publiques et privées ainsi que les établissements universitaires dans tous les cazas se sont associés à cette fête du Drapeau, marquant ainsi le coup d’envoi des cérémonies de la fête de l’Indépendance.
Des représentants officiels du président de la République, Michel Sleiman, du chef du législatif, Nabih Berry, et du Premier ministre, Nagib Mikati, ont déposé, comme à l’accoutumée, des gerbes de fleurs sur les tombes ou mausolées de Saëb Salam, Fouad Chéhab, Hamid Frangié (en présence, notamment, de l’ancien député Samir Frangié), Camille Chamoun (en présence du député Dory Chamoun), Pierre Gemayel (en présence du leader des Kataëb, le président Amine Gemayel), Béchara el-Khoury (en présence de cheikh Michel Béchara el-Khoury), Sélim Takla, Adnane Hakim, Riad Solh (en présence de l’ancienne ministre Leila Solh Hamadé), Habib Abi Chahla, Sabri Hamadé, Magid Arslane (en présence du député Talal Arslane), Adel Osseirane, Abdel Hamid Karamé (en présence de l’ancien Premier ministre Omar Karamé). Des gerbes de fleurs ont également été déposées au nom des trois pôles du pouvoir sur la tombe de Rafic Hariri, à la place des Martyrs du centre-ville, en présence de plusieurs députés et pôles du courant du Futur.
Parallèlement, des cérémonies et des défilés ont été organisés dans différentes casernes de l’armée aux quatre coins du pays, notamment au siège du commandement de l’armée, à Yarzé. Le ministre de la Défense, Fayez Ghosn, a fait à cette occasion une déclaration dans laquelle il a notamment évoqué la conjoncture présente dans la région, mettant l’accent sur les dangers d’ordre sécuritaire qui menacent le pays du fait des troubles qui secouent nombre de pays arabes. Le ministre Ghosn a notamment souligné le rôle crucial que l’armée est appelée à assumer dans un tel contexte afin de préserver la stabilité interne et la paix civile.
Notons dans ce cadre que comme chaque année, les célébrations de la fête de l’Indépendance ont été précédées parallèlement, le 21 novembre, de cérémonies marquant la fête du Drapeau, organisées dans les écoles et les diverses universités du pays. Les cours sont suspendus à cette occasion en début de journée pour hisser le drapeau, et les élèves sont appelés à entonner l’hymne national. La plupart des écoles publiques et privées ainsi que les établissements universitaires dans tous les cazas se sont associés à cette fête du Drapeau, marquant ainsi le coup d’envoi des cérémonies de la fête de l’Indépendance.
Comme chaque année à la veille de la fête de l’Indépendance, célébrée le 22 novembre, des cérémonies traditionnelles ont été organisées dans l’ensemble des régions du pays afin de rendre hommage aux pères de l’Indépendance de 1943. Des représentants officiels du président de la République, Michel Sleiman, du chef du législatif, Nabih Berry, et du Premier ministre, Nagib...
Ce débat que je lis me ramène à mon enfance en Afrique où les pères des indépendances africaines se faisanit toujours contredire par les opposants "communistes " à l'époque ou traité comme tels, de véritables diatribes entre Senghor Sékou Touré, Modibo keita , et on se traitait de vassal de l'Europe ou de Moscou, et voilà que le Liban en ce jour d'indépendance que certains donnent des dates fantaisistes et le pire, oublient celle de 2000 comme on oublierait sa propre date de naissance, 1er symptome de l'alzaimer, et Tina ramène tout le monde à la réalité en disant une chose juste, avons nous été un seul jour indépendant et ne le sera t on jamais ??
06 h 12, le 23 novembre 2011