Le secrétaire général du syndicat des propriétaires de boulangeries, Anis Béchara, a indiqué hier qu’une réunion se tiendra la semaine prochaine avec le ministre de l’Économie et du Commerce, Nicolas Nahas. Le but de cette rencontre sera notamment de débattre des possibilités d’augmenter les quantités de farine réservées aux boulangeries et de discuter d’une hausse éventuelle du prix du pain.
Les boulangeries font face depuis quelque temps à une demande de plus en plus forte de la part des consommateurs, notamment en raison de l’afflux massif des réfugiés syriens et palestiniens au Liban. Une situation, compliquée encore par la hausse des prix du blé sur les marchés internationaux, qui a suscité beaucoup d’interrogations et de craintes relatives au prix du pain.
« La concurrence est rude entre minotiers (...). Ils sont libres d’acheter du blé à un prix plus élevé et de revendre la farine plus cher », a relevé M. Béchara, ajoutant que « la tonne de farine produite localement est d’ailleurs vendue en Syrie à 750 800 livres alors qu’elle est vendue en minoterie à 590 000 livres ».
Par conséquent, « reste à voir ce que pensera le ministre Nahas de la hausse des prix internationaux du blé. L’État compte-t-il maintenir les subventions octroyées aux boulangeries (pour le pain arabe) ? » s’est interrogé M. Béchara. « En tout cas, si le prix du blé à l’étranger continue d’augmenter, nous n’aurons pas d’autre choix que de suivre », a conclu le secrétaire général du syndicat des propriétaires de boulangeries, Anis Béchara.
Il convient de rappeler que le pain arabe a indirectement été subventionné en février 2011. Le ministère de l’Économie avait en effet décidé, face à la forte hausse des cours mondiaux, d’acheter du blé sur les marchés internationaux pour le revendre à un prix inférieur aux minotiers libanais.
Les boulangeries font face depuis quelque temps à une demande de plus en plus forte de la part des consommateurs, notamment en raison de l’afflux massif des réfugiés syriens et palestiniens au Liban. Une situation, compliquée encore par la hausse des prix du blé sur les marchés internationaux, qui a suscité beaucoup d’interrogations et de craintes relatives au prix du pain.
« La concurrence est rude entre minotiers (...). Ils sont libres d’acheter du blé à un prix plus élevé et de revendre la farine plus cher », a relevé M. Béchara, ajoutant que « la tonne de farine produite localement est d’ailleurs vendue en Syrie à 750 800 livres alors qu’elle est vendue en minoterie à 590 000 livres ».
Par conséquent, « reste à voir ce que pensera le ministre Nahas de la hausse des prix internationaux du blé. L’État compte-t-il maintenir les subventions octroyées aux boulangeries (pour le pain arabe) ? » s’est interrogé M. Béchara. « En tout cas, si le prix du blé à l’étranger continue d’augmenter, nous n’aurons pas d’autre choix que de suivre », a conclu le secrétaire général du syndicat des propriétaires de boulangeries, Anis Béchara.
Il convient de rappeler que le pain arabe a indirectement été subventionné en février 2011. Le ministère de l’Économie avait en effet décidé, face à la forte hausse des cours mondiaux, d’acheter du blé sur les marchés internationaux pour le revendre à un prix inférieur aux minotiers libanais.
Le secrétaire général du syndicat des propriétaires de boulangeries, Anis Béchara, a indiqué hier qu’une réunion se tiendra la semaine prochaine avec le ministre de l’Économie et du Commerce, Nicolas Nahas. Le but de cette rencontre sera notamment de débattre des possibilités d’augmenter les quantités de farine réservées aux boulangeries et de discuter d’une hausse...
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