L’ordre des avocats de Beyrouth a rendu un vibrant hommage à l’avocat et activiste Melhem Khalaf, pour avoir été récemment élu membre du Comité des Nations unies pour l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale (comité créé à la suite d’une Convention adoptée par l’Assemblée générale en 1965).
La cérémonie organisée au bureau du bâtonnier Nohad Jabre a réuni le ministre sortant de la Justice, Chakib Cortbaoui ; le représentant du ministre sortant des Affaires étrangères, Adnane Mansour, l’ambassadeur Saad Zakhya ; l’ambassadrice d’Espagne, Milagros Hernando ; le président de la Ligue maronite, Samir Abillama ; l’avocat et professeur Fayez Hage Chahine ; ainsi que les anciens bâtonniers, membres du conseil de l’ordre, et le frère de Melhem Khalaf, Nagib Khalaf, et sa famille.
Le bâtonnier Nohad Jabre est revenu sur « le brillant parcours » de Melhem Khalaf, de l’Université Saint-Joseph à l’exercice du métier d’avocat, où « il a battu des ailes, aussi bien dans le droit libanais qu’étranger ». « Il a levé haut l’étendard du droit, préservant ainsi le legs historique d’une famille honorable, qui s’est imposée dans la magistrature, l’avocature et la foi. » « C’est pour cette raison que vous avez compris que le message de ce métier dépasse la science du droit », a-t-il ajouté, revenant par ailleurs sur l’association Offre-Joie, par laquelle Melhem Khalaf fait parvenir « un message d’humanisme », de solidarité et de reconstruction, morale et matérielle.
De son côté, le ministre sortant de la Justice Chakib Cortbaoui a estimé que l’élection de Melhem Khalaf au sein du comité onusien est le résultat d’une « véritable bataille menée au sein de l’ONU, et que le Liban a remporté grâce à l’humanisme de Melhem Khalaf, qui ne fait aucune distinction entre un individu et un autre, entre une région et une autre ».
Prenant la parole enfin, avec son éloquence et son humilité reconnues, le parrain d’Offre-Joie a estimé que son élection appartient en réalité à l’ordre des avocats, « bastion de la défense des libertés et des valeurs morales ». À l’heure actuelle, les atteintes aux libertés fondamentales ressurgissent, comme par exemple le couvre-feu imposé aux réfugiés syriens, que Melhem Khalaf a dénoncé entre autres.
Nohad Jabre lui a ensuite remis une plaque commémorative, avant un vin d’honneur convivial.
La cérémonie organisée au bureau du bâtonnier Nohad Jabre a réuni le ministre sortant de la Justice, Chakib Cortbaoui ; le représentant du ministre sortant des Affaires étrangères, Adnane Mansour, l’ambassadeur Saad Zakhya ; l’ambassadrice d’Espagne, Milagros Hernando ; le président de la Ligue maronite, Samir Abillama ; l’avocat et professeur Fayez Hage Chahine ; ainsi que les anciens bâtonniers, membres du conseil de l’ordre, et le frère de Melhem Khalaf, Nagib Khalaf, et sa famille.
Le bâtonnier Nohad Jabre est revenu sur « le brillant parcours » de Melhem Khalaf, de l’Université Saint-Joseph à l’exercice du métier d’avocat, où « il a battu des ailes, aussi bien dans le droit libanais qu’étranger ». « Il a levé haut l’étendard du droit, préservant ainsi le legs historique d’une famille honorable, qui s’est imposée dans la magistrature, l’avocature et la foi. » « C’est pour cette raison que vous avez compris que le message de ce métier dépasse la science du droit », a-t-il ajouté, revenant par ailleurs sur l’association Offre-Joie, par laquelle Melhem Khalaf fait parvenir « un message d’humanisme », de solidarité et de reconstruction, morale et matérielle.
De son côté, le ministre sortant de la Justice Chakib Cortbaoui a estimé que l’élection de Melhem Khalaf au sein du comité onusien est le résultat d’une « véritable bataille menée au sein de l’ONU, et que le Liban a remporté grâce à l’humanisme de Melhem Khalaf, qui ne fait aucune distinction entre un individu et un autre, entre une région et une autre ».
Prenant la parole enfin, avec son éloquence et son humilité reconnues, le parrain d’Offre-Joie a estimé que son élection appartient en réalité à l’ordre des avocats, « bastion de la défense des libertés et des valeurs morales ». À l’heure actuelle, les atteintes aux libertés fondamentales ressurgissent, comme par exemple le couvre-feu imposé aux réfugiés syriens, que Melhem Khalaf a dénoncé entre autres.
Nohad Jabre lui a ensuite remis une plaque commémorative, avant un vin d’honneur convivial.
L’ordre des avocats de Beyrouth a rendu un vibrant hommage à l’avocat et activiste Melhem Khalaf, pour avoir été récemment élu membre du Comité des Nations unies pour l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale (comité créé à la suite d’une Convention adoptée par l’Assemblée générale en 1965).La cérémonie organisée au bureau du bâtonnier Nohad Jabre a...