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Très tôt mardi matin, de nombreux habitants attendaient déjà l’ouverture de la route reliant Deir Mimas et Kfar Kila par l’armée libanaise au Liban-Sud. Photo Mohammad Yassine

Très tôt mardi matin, de nombreux habitants attendaient déjà l’ouverture de la route reliant Deir Mimas et Kfar Kila par l’armée libanaise au Liban-Sud. Photo Mohammad Yassine

Certains, très pressés de retrouver leur maison, ont contourné le barrage de l’armée libanaise au niveau de Deir Mimas, où un des ses blindés fermait la route. Sur la route menant à Kfar Kila, nombreux sont ceux qui se sont mis à courir. Photo Mohammad Yassine

Certains, très pressés de retrouver leur maison, ont contourné le barrage de l’armée libanaise au niveau de Deir Mimas, où un des ses blindés fermait la route. Sur la route menant à Kfar Kila, nombreux sont ceux qui se sont mis à courir. Photo Mohammad Yassine

Sur place, c'est un paysage de dévastation qu’ils ont découvert. Photo Mohammad Yassine

Sur place, c'est un paysage de dévastation qu’ils ont découvert. Photo Mohammad Yassine

Les frappes et exactions israéliennes ont rasé des pans entiers du village. Photo Mohammad Yassine

Les frappes et exactions israéliennes ont rasé des pans entiers du village. Photo Mohammad Yassine

L’armée libanaise déployée dans le village. Photo Mohammad Yassine

L’armée libanaise déployée dans le village. Photo Mohammad Yassine

Certaines zones sont parfois dangereuses, et l'armée a appelé les habitants à ne pas s'y rendre avant la fin de l'inspection des lieux. Photo Mohammad Yassine

Certaines zones sont parfois dangereuses, et l'armée a appelé les habitants à ne pas s'y rendre avant la fin de l'inspection des lieux. Photo Mohammad Yassine

Des secouristes, aidés par les habitants se sont employés à retrouver les décombres et à les évacuer. Photo Mohammad Yassine

Des secouristes, aidés par les habitants se sont employés à retrouver les décombres et à les évacuer. Photo Mohammad Yassine

À Houla, l’armée libanaise s'est également employée à assurer la sécurité des accès. Photo Matthieu Karam

À Houla, l’armée libanaise s'est également employée à assurer la sécurité des accès. Photo Matthieu Karam

Des habitants de toutes les générations sont venus retrouver leurs terres de Houla. Photo Matthieu Karam

Des habitants de toutes les générations sont venus retrouver leurs terres de Houla. Photo Matthieu Karam

Lama Mustafa, 37 ans, tient une photo de son mari, dont elle est venue chercher la dépouille mortelle à Houla. Elle refuse de prendre le risque de passer à pied par le maquis comme le font certains habitants du village, bravant les instructions de l’armée libanaise. « Le ministre de l'Éducation n'a pas pensé aux familles du Sud en ce jour », dénonce-t-elle en expliquant qu’elle a dû laisser ses trois enfants seuls à l'école car ils passent des examens. Photo Matthieu Karam

Lama Mustafa, 37 ans, tient une photo de son mari, dont elle est venue chercher la dépouille mortelle à Houla. Elle refuse de prendre le risque de passer à pied par le maquis comme le font certains habitants du village, bravant les instructions de l’armée libanaise. « Le ministre de l'Éducation n'a pas pensé aux familles du Sud en ce jour », dénonce-t-elle en expliquant qu’elle a dû laisser ses trois enfants seuls à l'école car ils passent des examens. Photo Matthieu Karam

« Je viens presque tous les jours, mais aujourd’hui c’est particulier. On ne voit plus l’ennemi israélien », se réjouit Wafaa Hussein, déplacée à Saïda qui retourne à Houla. La trentenaire pleure la mémoire d’une enfant morte dans des frappes israéliennes. « Elle avait du courage. On a plein de martyrs, presque une centaine, et c’est une fierté... Nous avons un dicton à Houla qui dit : « On plante des martyrs avant de planter des oliviers ». Photo Matthieu Karam

« Je viens presque tous les jours, mais aujourd’hui c’est particulier. On ne voit plus l’ennemi israélien », se réjouit Wafaa Hussein, déplacée à Saïda qui retourne à Houla. La trentenaire pleure la mémoire d’une enfant morte dans des frappes israéliennes. « Elle avait du courage. On a plein de martyrs, presque une centaine, et c’est une fierté... Nous avons un dicton à Houla qui dit : « On plante des martyrs avant de planter des oliviers ». Photo Matthieu Karam

Les drapeaux du Hezbollah se mêlent aux troupes de l’armée libanaise, qui contrôle chaque entrée du village de Houla. Photo Matthieu Karam

Les drapeaux du Hezbollah se mêlent aux troupes de l’armée libanaise, qui contrôle chaque entrée du village de Houla. Photo Matthieu Karam

« Dans le salon se trouvait une photo de ma fille avec le Sayyed (Hassan Nasrallah). Elle avait gagné un prix à l’école à l’époque. Les Israéliens ont cassé le cadre et découpé la photo, juste pour nous provoquer », raconte un habitant du village. Photo Matthieu Karam

« Dans le salon se trouvait une photo de ma fille avec le Sayyed (Hassan Nasrallah). Elle avait gagné un prix à l’école à l’époque. Les Israéliens ont cassé le cadre et découpé la photo, juste pour nous provoquer », raconte un habitant du village. Photo Matthieu Karam

Ali, fils du martyr Ayman Chafic Mahmoud, tient une photo de son père. Photo Matthieu Karam

Ali, fils du martyr Ayman Chafic Mahmoud, tient une photo de son père. Photo Matthieu Karam

Les hommages aux martyrs sont nombreux. Les habitants posent les photos à même les décombres et rendent hommage à leurs proches. Photo Matthieu Karam

Les hommages aux martyrs sont nombreux. Les habitants posent les photos à même les décombres et rendent hommage à leurs proches. Photo Matthieu Karam

Un autre "martyr", le plus grand pour certains, est bien sûr le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah. De nombreux hommages lui sont rendus. Photo Matthieu Karam

Un autre "martyr", le plus grand pour certains, est bien sûr le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah. De nombreux hommages lui sont rendus. Photo Matthieu Karam

À la mi-journée, tout le village n'était pas encore sécurisé. Ici, des militaires barrent la route menant à une maison privée dans le centre de Houla. Photo Matthieu Karam

À la mi-journée, tout le village n'était pas encore sécurisé. Ici, des militaires barrent la route menant à une maison privée dans le centre de Houla. Photo Matthieu Karam