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Devant la mosquée Al-Salam du quartier de Berzé, à Damas, des dizaines de familles sont rassemblées ce 10 décembre. Elles partagent le même drame -un proche a disparu dans les geôles syriennes- et un même espoir, le retrouver. Photo Mohammad Yassine

Devant la mosquée Al-Salam du quartier de Berzé, à Damas, des dizaines de familles sont rassemblées ce 10 décembre. Elles partagent le même drame -un proche a disparu dans les geôles syriennes- et un même espoir, le retrouver. Photo Mohammad Yassine

Ces personnes, venues de différentes villes du Rif de Damas, et même de régions plus éloignées comme Hama, s’étaient rendues lundi à la prison de Saydnaya, sans succès. On leur a dit de venir dans cette mosquée, transformée en centre d'enregistrement de ces recherches. Photo Mohammad Yassine

Ces personnes, venues de différentes villes du Rif de Damas, et même de régions plus éloignées comme Hama, s’étaient rendues lundi à la prison de Saydnaya, sans succès. On leur a dit de venir dans cette mosquée, transformée en centre d'enregistrement de ces recherches. Photo Mohammad Yassine

Photo Mohammad Yassine

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Dans la mosquée, on enregistre noms, coordonnées... tout ce qui pourrait permettre de savoir ce qu'il est advenu de leur proche.  Photo Mohammad Yassine

Dans la mosquée, on enregistre noms, coordonnées... tout ce qui pourrait permettre de savoir ce qu'il est advenu de leur proche. Photo Mohammad Yassine

Parallèlement, ce 10 décembre, des dizaines de familles se rendaient toujours à l'effroyable prison de Saydnaya. Photo Mohammad Yassine

Parallèlement, ce 10 décembre, des dizaines de familles se rendaient toujours à l'effroyable prison de Saydnaya. Photo Mohammad Yassine

Dans ce centre pénitentiaire, surnommé l'"abattoir humain" par Amnesty International, des milliers d'hommes et de femmes ont été incarcérés dans des conditions inhumaines. La grande majorité d'entre eux y ont subi les pires tortures. Des milliers y sont morts en raison des conditions d'incarcération ou y ont été exécutés. Photo Mohammad Yassine.

Dans ce centre pénitentiaire, surnommé l'"abattoir humain" par Amnesty International, des milliers d'hommes et de femmes ont été incarcérés dans des conditions inhumaines. La grande majorité d'entre eux y ont subi les pires tortures. Des milliers y sont morts en raison des conditions d'incarcération ou y ont été exécutés. Photo Mohammad Yassine.

Les familles ont toujours espoir d'y retrouver un proche qui aurait survécu à cette barbarie. Photo Mohammad Yassine

Les familles ont toujours espoir d'y retrouver un proche qui aurait survécu à cette barbarie. Photo Mohammad Yassine

"Le peuple syrien ne peut pas être humilié. La révolution de la liberté et de la dignité a vaincu", peut-on lire sur ce mur. Photo Mohammad Yassine

"Le peuple syrien ne peut pas être humilié. La révolution de la liberté et de la dignité a vaincu", peut-on lire sur ce mur. Photo Mohammad Yassine

Alors que des rumeurs ont fait état de cellules en sous-sol, nombre de proches cherchent partout, creusent, cassent des murs, dans l'espoir de retrouver quelqu'un. Photo Mohammad Yassine

Alors que des rumeurs ont fait état de cellules en sous-sol, nombre de proches cherchent partout, creusent, cassent des murs, dans l'espoir de retrouver quelqu'un. Photo Mohammad Yassine

Mardi 10 décembre, les Casques blancs, ces secouristes syriens, ont toutefois annoncé la fin des opérations de recherche dans la prison de Saydnaya où, justement, ils soupçonnaient l'existence de cachots souterrains, sans avoir trouvé de détenus.
"Les Casques blancs annoncent la conclusion des opérations de recherches (..) sans avoir trouvé de lieux secrets ou cachés" dans cette prison, ont-ils dit dans un communiqué. Photo Mohammad Yassine

Mardi 10 décembre, les Casques blancs, ces secouristes syriens, ont toutefois annoncé la fin des opérations de recherche dans la prison de Saydnaya où, justement, ils soupçonnaient l'existence de cachots souterrains, sans avoir trouvé de détenus. "Les Casques blancs annoncent la conclusion des opérations de recherches (..) sans avoir trouvé de lieux secrets ou cachés" dans cette prison, ont-ils dit dans un communiqué. Photo Mohammad Yassine

Mais certains ne peuvent se résoudre à abandonner les recherches. Photo Mohammad Yassine

Mais certains ne peuvent se résoudre à abandonner les recherches. Photo Mohammad Yassine

Les proches étudient également tous les documents trouvés dans cette administration de la mort, dans l'espoir d'y trouver le nom d'un proche et une quelconque indication sur son sort. Photo Mohammad Yassine

Les proches étudient également tous les documents trouvés dans cette administration de la mort, dans l'espoir d'y trouver le nom d'un proche et une quelconque indication sur son sort. Photo Mohammad Yassine

Photo Mohammad Yassine

Photo Mohammad Yassine

Pour beaucoup, la quête s'achève dans la morgue de l'hôpital al-Mejtehed, à Damas. Photo Mohammad Yassine

Pour beaucoup, la quête s'achève dans la morgue de l'hôpital al-Mejtehed, à Damas. Photo Mohammad Yassine

Des dizaines de corps, transférés de Saydanya, y ont été transférés. Pour certains, la mort remonte à un an, pour d’autres, à 10 jours. Photo Mohammad Yassine

Des dizaines de corps, transférés de Saydanya, y ont été transférés. Pour certains, la mort remonte à un an, pour d’autres, à 10 jours. Photo Mohammad Yassine

Dans cette morgue, les familles arrivent au bout de l'enfer. Photo Mohammad Yassine

Dans cette morgue, les familles arrivent au bout de l'enfer. Photo Mohammad Yassine

Ne reste plus que le désespoir. Photo Mohammad Yassine

Ne reste plus que le désespoir. Photo Mohammad Yassine