Le ministre des Affaires sociales, Waël Bou Faour, s’est entretenu hier avec une délégation de parlementaires européens présidée par Marisa Matias en présence de la chef de la Délégation de la Commission européenne à Beyrouth, Angelina Eichhorst. L’entrevue a porté sur la situation des réfugiés syriens au Liban.
M. Bou Faour a indiqué qu’il ne « s’agit pas uniquement du dossier des réfugiés syriens, mais aussi de notre stabilité ». « Le nombre de réfugiés est tellement important que le gouvernement libanais ne peut plus subvenir à leurs besoins, a-t-il affirmé. Le Liban ne cherche pas uniquement une aide financière, mais également un soutien social. Nous faisons face de plus en plus à des problèmes entre les hôtes et les réfugiés dans les milieux pauvres, car les Syriens bénéficient d’aides diverses dont les Libanais sont exclus. »
« Nous ne fermerons pas notre frontière face aux réfugiés syriens, mais il est nécessaire que la communauté internationale nous vienne en aide afin que nous puissions continuer », a-t-il ajouté.
M. Bou Faour s’est aussi entretenu avec le chef du bureau du Comité islamique de secours saoudien au Liban, Abdelkarim Moussa, du même dossier.
M. Moussa a indiqué que le comité qu’il représente a commencé à assurer, depuis plus de deux mois, des aides alimentaires et des médicaments aux réfugiés syriens. Des centres permanents seront mis en place dans les diverses régions qui accueillent les réfugiés.
Le ministre des Affaires sociales s’est réuni en outre avec une délégation palestinienne, évoquant avec elle la situation des réfugiés arrivés au Liban après avoir fui les camps palestiniens de Syrie.
Par ailleurs, le Croissant-Rouge koweïtien a entamé son travail au Liban pour venir en aide aussi bien aux réfugiés syriens qu’aux communautés libanaises qui les accueillent, notamment au Hermel dans le Akkar et à Ersal, comme l’a expliqué le coordinateur de l’institution Mossaed Rached Anzi. Des caisses alimentaires sont en cours de distribution et, durant un mois, 5 000 sacs de pain seront remis aux réfugiés.
M. Bou Faour a indiqué qu’il ne « s’agit pas uniquement du dossier des réfugiés syriens, mais aussi de notre stabilité ». « Le nombre de réfugiés est tellement important que le gouvernement libanais ne peut plus subvenir à leurs besoins, a-t-il affirmé. Le Liban ne cherche pas uniquement une aide financière, mais également un soutien social. Nous faisons face de plus en plus à des problèmes entre les hôtes et les réfugiés dans les milieux pauvres, car les Syriens bénéficient d’aides diverses dont les Libanais sont exclus. »
« Nous ne fermerons pas notre frontière face aux réfugiés syriens, mais il est nécessaire que la communauté internationale nous vienne en aide afin que nous puissions continuer », a-t-il ajouté.
M. Bou Faour s’est aussi entretenu avec le chef du bureau du Comité islamique de secours saoudien au Liban, Abdelkarim Moussa, du même dossier.
M. Moussa a indiqué que le comité qu’il représente a commencé à assurer, depuis plus de deux mois, des aides alimentaires et des médicaments aux réfugiés syriens. Des centres permanents seront mis en place dans les diverses régions qui accueillent les réfugiés.
Le ministre des Affaires sociales s’est réuni en outre avec une délégation palestinienne, évoquant avec elle la situation des réfugiés arrivés au Liban après avoir fui les camps palestiniens de Syrie.
Par ailleurs, le Croissant-Rouge koweïtien a entamé son travail au Liban pour venir en aide aussi bien aux réfugiés syriens qu’aux communautés libanaises qui les accueillent, notamment au Hermel dans le Akkar et à Ersal, comme l’a expliqué le coordinateur de l’institution Mossaed Rached Anzi. Des caisses alimentaires sont en cours de distribution et, durant un mois, 5 000 sacs de pain seront remis aux réfugiés.
Le ministre des Affaires sociales, Waël Bou Faour, s’est entretenu hier avec une délégation de parlementaires européens présidée par Marisa Matias en présence de la chef de la Délégation de la Commission européenne à Beyrouth, Angelina Eichhorst. L’entrevue a porté sur la situation des réfugiés syriens au Liban.M. Bou Faour a indiqué qu’il ne « s’agit pas uniquement du...
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