La magnifique plage de Belcekiz.
Chaque année, la Turquie accueille 30 millions de touristes dont 23 millions vont à l’assaut de sa côte turquoise et contribuent ainsi au développement d’un grand nombre de villes côtières. Celles-ci se sont rapidement transformées en stations balnéaires accueillant des clubs, qui figurent parmi les destinations privilégiées de tous ceux qui sont en quête de farniente ou qui veulent goûter aux plaisirs des activités maritimes.
Nichée au pied des collines verdoyantes du mont Mendos, Fethiyé, prononcer Fétier – qui accueille le club Lettonia, célèbre auprès des Libanais –, n’échappe pas à cette règle. La ville qui ceinture une magnifique baie turquoise offre au visiteur une alliance très particulière d’exotisme et de tradition. Un mélange d’Orient et d’Occident, qui fascine et attire.
Le développement du secteur immobilier, touristique et privé, dans la ville témoigne de l’attrait qu’elle exerce sur ses visiteurs. Destination de prédilection d’un grand nombre d’Européens, Fethiyé est devenue une deuxième patrie pour beaucoup d’entre eux. Sur les 300 000 habitants que compte la ville, plus de 10 000 sont de nationalité britannique. Beaucoup d’Anglais, une fois leur retraite prise, choisissent de quitter la grisaille de leur pays d’origine et de s’installer dans cette ville plusieurs fois millénaire. D’autres y ont pris une résidence secondaire, pour pouvoir s’y rendre à leur convenance.
14e puissance économique mondiale
Considérée comme la 14e puissance économique mondiale, avec une économie qui n’a pas été affectée par la crise mondiale, un PNB qui est passé de 8,9 % en 2010 à 11,1 % durant le premier tremestre de 2011, avec une croissance moyenne de 4 %, la Turquie inspire confiance aux investisseurs. Nombreux, en effet, sont les étrangers qui ont fait des placements, non seulement dans le secteur touristique (hôtels, restaurants, boîtes de nuit), mais également dans le secteur immobilier, directement lié d’ailleurs au tourisme.
Des complexes résidentiels, destinés principalement au tourisme, parsèment le golfe jusqu’au flanc des collines. Le taux d’exploitation des terrains ne dépasse pas les 25 %. La ville se fond ainsi dans la nature verdoyante qui l’entoure. Chaque maison ou lot de maisons a ainsi son jardin et sa piscine privée, son coin barbecue... Tout appelle au farniente.
Établi depuis 1989, Deska Global est un des plus larges groupes immobiliers du Sud-Ouest turc. Il avait démarré en tant qu’agence de voyages avant de se lancer dans le design et la construction d’appartements et de villas. Le groupe, qui est une entreprise familiale, ne se contente pas de construire et de proposer à la vente des appartements ou des villas, ou encore d’en louer pour la saison touristique, mais assure également un service après-vente, à travers un département dédié spécifiquement à cette tâche. Depuis deux ans, Deska Global, qui bénéficie d’une excellente réputation sur les marchés turc et européen, s’est tourné vers le marché libanais qu’il souhaite impliquer dans les activités d’investissement en Turquie.
Affaires et plaisir
On sait qu’en vertu de l’accord économique et commercial conclu il y a trois ans par l’ancien Premier ministre, Saad Hariri, avec Ankara, les visas entre le Liban et la Turquie ont été abolis et les Turcs ont été autorisés à acquérir des biens au Liban. Au nom du principe de la réciprocité, le gouvernement turc a également autorisé les Libanais à acquérir également des biens sur son territoire.
Le concept développé par Deska Global allie affaires et plaisir. À travers le groupe, vingt Libanais, conquis par la beauté de la région et les prix de l’immobilier, ont déjà acquis des logements : certains en ont fait une résidence secondaire, d’autres les louent, à travers la compagnie, qui s’occupe de tous les détails de gestion et de logistique liés à la location : contrat, aménagement de l’appartement ou de la villa, nettoyage, maintenance... Le propriétaire libanais obtient en revanche 6 % du revenu annuel et a la possibilité de passer deux à quatre semaines, deux fois l’an dans sa résidence. Il a aussi la possibilité de commander sa villa ou bungalow et de requérir l’architecture de son choix, du moment que celle-ci respecte les normes établies par le gouvernement turc, dans un souci évident d’urbanisme.
Il est intéressant de relever l’impression de sérénité qui se dégage de toute une région, qui, bien que fortement urbanisée, se fond entièrement dans une nature aux accents verts de la montagne et turquoises de la mer.
Pour les personnes ou familles intéressées seulement par la location, Deska Global s’occupe également de tout, y compris les transports de et vers l’aéroport Dalaman, situé à 50 minutes de la ville. Le groupe qui était actif dans la ville de Fethiyé a étendu son champ d’action aux localités voisines, Calis, avec sa magnigique plage, Ovacik, Hisaranu et Kemer, toutes des stations balnéaires par excellence. Les complexes résidentiels bâtis sont tous situés dans des endroits stratégiques, soit près de la mer, comme dans le secteur en vogue de Calis, soit près du centre d’activités d’une ville, comme c’est le cas à Hisaranu dont l’artère principale, très animée à cause des restaurants, des boîtes de nuit et des boutiques qui la jalonnent, devient piétonne la nuit.
La construction d’un country club est prévu par Deska Global dans les mois à venir, entre la ville côtière et la montagne de Seki où une station de ski a été récemment établie à 1 900 mètres d’altitude. Fethiyé fait ainsi la part belle aux sports d’hiver et souhaite attirer davantage de touristes en hiver. La saison de ski commence en décembre et se prolonge jusqu’en avril. Les Turcs s’amusent, comme les Libanais, à raconter qu’au printemps, il est possible d’aller skier dans la matinée et de piquer une tête dans la Méditerranée, l’après-midi. Les propriétaires de Deska Global, Selda Ogretmen et Kadir Ozturk, ainsi que le responsable des relations internationales de la compagnie, Rammah Taan, dont les bureaux se trouvent au siège de Nakhal, à Sami el-Solh, espèrent un accroissement du nombre de visiteurs en hiver aussi, parmi les amoureux du ski.
S’ils sont satisfaits de l’intérêt que les investisseurs libanais manifestent à leurs projets touristiques immobiliers, ils sont confiants dans le développement de cette tendance, en raison de la proximité de Fethiyé qui est à une heure de vol de Beyrouth, de l’absence de visas, de la nature rentable de l’investissement et de la diversité des activités sportives, ludiques et culturelles offertes.
Nichée au pied des collines verdoyantes du mont Mendos, Fethiyé, prononcer Fétier – qui accueille le club Lettonia, célèbre auprès des Libanais –, n’échappe pas à cette règle. La ville qui ceinture une magnifique baie turquoise offre au visiteur une alliance très particulière d’exotisme et de tradition. Un mélange d’Orient et d’Occident, qui fascine et attire.
Le développement du secteur immobilier, touristique et privé, dans la ville témoigne de l’attrait qu’elle exerce sur ses visiteurs. Destination de prédilection d’un grand nombre d’Européens, Fethiyé est devenue une deuxième patrie pour beaucoup d’entre eux. Sur les 300 000 habitants que compte la ville, plus de 10 000 sont de nationalité britannique. Beaucoup d’Anglais, une fois leur retraite prise, choisissent de quitter la grisaille de leur pays d’origine et de s’installer dans cette ville plusieurs fois millénaire. D’autres y ont pris une résidence secondaire, pour pouvoir s’y rendre à leur convenance.
14e puissance économique mondiale
Considérée comme la 14e puissance économique mondiale, avec une économie qui n’a pas été affectée par la crise mondiale, un PNB qui est passé de 8,9 % en 2010 à 11,1 % durant le premier tremestre de 2011, avec une croissance moyenne de 4 %, la Turquie inspire confiance aux investisseurs. Nombreux, en effet, sont les étrangers qui ont fait des placements, non seulement dans le secteur touristique (hôtels, restaurants, boîtes de nuit), mais également dans le secteur immobilier, directement lié d’ailleurs au tourisme.
Des complexes résidentiels, destinés principalement au tourisme, parsèment le golfe jusqu’au flanc des collines. Le taux d’exploitation des terrains ne dépasse pas les 25 %. La ville se fond ainsi dans la nature verdoyante qui l’entoure. Chaque maison ou lot de maisons a ainsi son jardin et sa piscine privée, son coin barbecue... Tout appelle au farniente.
Établi depuis 1989, Deska Global est un des plus larges groupes immobiliers du Sud-Ouest turc. Il avait démarré en tant qu’agence de voyages avant de se lancer dans le design et la construction d’appartements et de villas. Le groupe, qui est une entreprise familiale, ne se contente pas de construire et de proposer à la vente des appartements ou des villas, ou encore d’en louer pour la saison touristique, mais assure également un service après-vente, à travers un département dédié spécifiquement à cette tâche. Depuis deux ans, Deska Global, qui bénéficie d’une excellente réputation sur les marchés turc et européen, s’est tourné vers le marché libanais qu’il souhaite impliquer dans les activités d’investissement en Turquie.
Affaires et plaisir
On sait qu’en vertu de l’accord économique et commercial conclu il y a trois ans par l’ancien Premier ministre, Saad Hariri, avec Ankara, les visas entre le Liban et la Turquie ont été abolis et les Turcs ont été autorisés à acquérir des biens au Liban. Au nom du principe de la réciprocité, le gouvernement turc a également autorisé les Libanais à acquérir également des biens sur son territoire.
Le concept développé par Deska Global allie affaires et plaisir. À travers le groupe, vingt Libanais, conquis par la beauté de la région et les prix de l’immobilier, ont déjà acquis des logements : certains en ont fait une résidence secondaire, d’autres les louent, à travers la compagnie, qui s’occupe de tous les détails de gestion et de logistique liés à la location : contrat, aménagement de l’appartement ou de la villa, nettoyage, maintenance... Le propriétaire libanais obtient en revanche 6 % du revenu annuel et a la possibilité de passer deux à quatre semaines, deux fois l’an dans sa résidence. Il a aussi la possibilité de commander sa villa ou bungalow et de requérir l’architecture de son choix, du moment que celle-ci respecte les normes établies par le gouvernement turc, dans un souci évident d’urbanisme.
Il est intéressant de relever l’impression de sérénité qui se dégage de toute une région, qui, bien que fortement urbanisée, se fond entièrement dans une nature aux accents verts de la montagne et turquoises de la mer.
Pour les personnes ou familles intéressées seulement par la location, Deska Global s’occupe également de tout, y compris les transports de et vers l’aéroport Dalaman, situé à 50 minutes de la ville. Le groupe qui était actif dans la ville de Fethiyé a étendu son champ d’action aux localités voisines, Calis, avec sa magnigique plage, Ovacik, Hisaranu et Kemer, toutes des stations balnéaires par excellence. Les complexes résidentiels bâtis sont tous situés dans des endroits stratégiques, soit près de la mer, comme dans le secteur en vogue de Calis, soit près du centre d’activités d’une ville, comme c’est le cas à Hisaranu dont l’artère principale, très animée à cause des restaurants, des boîtes de nuit et des boutiques qui la jalonnent, devient piétonne la nuit.
La construction d’un country club est prévu par Deska Global dans les mois à venir, entre la ville côtière et la montagne de Seki où une station de ski a été récemment établie à 1 900 mètres d’altitude. Fethiyé fait ainsi la part belle aux sports d’hiver et souhaite attirer davantage de touristes en hiver. La saison de ski commence en décembre et se prolonge jusqu’en avril. Les Turcs s’amusent, comme les Libanais, à raconter qu’au printemps, il est possible d’aller skier dans la matinée et de piquer une tête dans la Méditerranée, l’après-midi. Les propriétaires de Deska Global, Selda Ogretmen et Kadir Ozturk, ainsi que le responsable des relations internationales de la compagnie, Rammah Taan, dont les bureaux se trouvent au siège de Nakhal, à Sami el-Solh, espèrent un accroissement du nombre de visiteurs en hiver aussi, parmi les amoureux du ski.
S’ils sont satisfaits de l’intérêt que les investisseurs libanais manifestent à leurs projets touristiques immobiliers, ils sont confiants dans le développement de cette tendance, en raison de la proximité de Fethiyé qui est à une heure de vol de Beyrouth, de l’absence de visas, de la nature rentable de l’investissement et de la diversité des activités sportives, ludiques et culturelles offertes.
Chaque année, la Turquie accueille 30 millions de touristes dont 23 millions vont à l’assaut de sa côte turquoise et contribuent ainsi au développement d’un grand nombre de villes côtières. Celles-ci se sont rapidement transformées en stations balnéaires accueillant des clubs, qui figurent parmi les destinations privilégiées de tous ceux qui sont en quête de farniente ou qui...
commentaires (2)
- - C'est une PUB bien ciblée , au profit d'un actionnaire bien de chez NOUS ! cité dans l'article .. Pourquoi les Libanais iraient investir en Turquie , ou chercher , ce qu'ils ont déjà chez eux ? L'article nous parle des investisseurs " étrangers " dans le secteur des hôtels , boîtes de nuits , restaurants et cafés , bref , tout ce qui est connecté à l'alcool (...) ! et confirme que c'est bien ce secteur qui anime cette région .. Jusqu'à quand ceux-là seraient tolérés et autorisés à vendre de l'alcool , avec la radicalisation visible de l'islam Turc et de ses dirigeants .. ? Regardez ce qui est arrivé en Tunisie et aux investissements énormes dans le secteur touristique , qui se trouvent complètement désertés après la révolution " Arabe " !!! Cette région Turque serait un Eldorado pour les ressortissants arabes du Golfe , qui aiment les endroits pas cher , et encore , faut-il que les baigneurs et les baigneuses puissent continuer à se mettre en tenue osée et provocante , comme aiment les voir et se rincer les yeux ces riches Arabes hypocrites avec un verre à la main , ce qu'ils refusent à leurs familles et à leur société .
JABBOUR André
03 h 42, le 05 octobre 2011