Abou Ramez Sahmarani au cours d’une manifestation organisée en février 2006 à Aïn el-Héloué contre les États-Unis et leurs alliés dans la guerre contre l’Afghanistan. Ali Hachicho/AFP
Le corps d'Abou Ramez Sahmarani, également connu sous le nom de Gandhi Sahmarani, un responsable de Jund el-Cham, a été retrouvé samedi matin dans un garage à l'intérieur du camp de Aïn el-
Héloué. Selon Mounir Makdah, responsable du Fateh, le corps a dû y être transporté après la mort de Sahmarani puisque ce dernier n'avait pas le droit de pénétrer dans le camp.
La victime avait les mains liées derrières le dos et semblait avoir été tuée d'une balle dans la bouche, selon un photographe de l'AFP qui a vu le corps à la morgue de l'hôpital al-Hamchari à Saïda. Pour M. Makdah, il est possible que Sahmarani ait été tué par des membres de Jund el-Cham « dans la mesure où différents groupes au sein de l'organisation se battent entre eux ».
De nationalité libanaise, Sahmarani était, selon Mounir Makdah, « un ami de Abdel Rahman Awad », chef présumé de Fateh el-Islam.
Commentant la mort du responsable de Jund el-Cham, le commandant des forces armées palestiniennes au Liban, le général Sobhi Abou Arab, a démenti l'implication du Fateh dans l'assassinat, expliquant dans ce cadre que « Sahmarani n'habitait pas dans le camp de Aïn el-Héloué, mais à
« Hay el-taouarek », aux côtés de quelque quarante personnes recherchées par la justice libanaise ». Dans une interview accordée au site d'informations Now Lebanon, le général Abou Arab a souligné que « jusqu'à présent, on ignore les circonstances de l'assassinat et les raisons pour lesquelles le corps a été transporté jusqu'à Aïn el-Héloué ». « Il est probable que c'était pour créer une discorde à l'intérieur du camp », a-t-il ajouté. Et de conclure en affirmant : « Nous ne permettrons pas qu'une partie ou un événement entraîne le camp de Aïn el-Héloué dans un conflit sectaire ou partisan afin de ne pas réitérer les événements de Nahr el-Bared. »
Héloué. Selon Mounir Makdah, responsable du Fateh, le corps a dû y être transporté après la mort de Sahmarani puisque ce dernier n'avait pas le droit de pénétrer dans le camp.
La victime avait les mains liées derrières le dos et semblait avoir été tuée d'une balle dans la bouche, selon un photographe de l'AFP qui a vu le corps à la morgue de l'hôpital al-Hamchari à Saïda. Pour M. Makdah, il est possible que Sahmarani ait été tué par des membres de Jund el-Cham « dans la mesure où différents groupes au sein de l'organisation se battent entre eux ».
De nationalité libanaise, Sahmarani était, selon Mounir Makdah, « un ami de Abdel Rahman Awad », chef présumé de Fateh el-Islam.
Commentant la mort du responsable de Jund el-Cham, le commandant des forces armées palestiniennes au Liban, le général Sobhi Abou Arab, a démenti l'implication du Fateh dans l'assassinat, expliquant dans ce cadre que « Sahmarani n'habitait pas dans le camp de Aïn el-Héloué, mais à
« Hay el-taouarek », aux côtés de quelque quarante personnes recherchées par la justice libanaise ». Dans une interview accordée au site d'informations Now Lebanon, le général Abou Arab a souligné que « jusqu'à présent, on ignore les circonstances de l'assassinat et les raisons pour lesquelles le corps a été transporté jusqu'à Aïn el-Héloué ». « Il est probable que c'était pour créer une discorde à l'intérieur du camp », a-t-il ajouté. Et de conclure en affirmant : « Nous ne permettrons pas qu'une partie ou un événement entraîne le camp de Aïn el-Héloué dans un conflit sectaire ou partisan afin de ne pas réitérer les événements de Nahr el-Bared. »
Le corps d'Abou Ramez Sahmarani, également connu sous le nom de Gandhi Sahmarani, un responsable de Jund el-Cham, a été retrouvé samedi matin dans un garage à l'intérieur du camp de Aïn el-Héloué. Selon Mounir Makdah, responsable du Fateh, le corps a dû y être transporté après la mort de Sahmarani puisque ce dernier n'avait pas le droit de pénétrer dans le camp.La victime avait les...
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