Le Premier ministre, Saad Hariri, doit effectuer fin mai sa première visite officielle aux États-Unis, où il rencontrera le président Barack Obama, a-t-on appris de source gouvernementale, hier.
Selon cette source, la visite de M. Hariri sera entamée le 24 mai et durera cinq jours.
Le Premier ministre doit également prononcer un discours au Conseil de sécurité de l'ONU, présidé par le Liban durant le mois de mai. Le Liban a été élu membre non permanent du Conseil de sécurité pour la période 2010-2011.
La visite de M. Hariri interviendra au moment où la tension a été ravivée par les affirmations israéliennes selon lesquelles la Syrie aurait fourni des missiles Scud au Hezbollah. Selon l'État hébreu, ce parti possède plus de 40 000 roquettes dont certaines capables d'atteindre les grandes villes d'Israël.
Washington a ensuite accusé l'Iran et la Syrie de fournir au Hezbollah roquettes et missiles « aux capacités de plus en plus importantes » sans parler spécifiquement de Scud.
La Syrie a démenti ces accusations, tandis que le Hezbollah a refusé de les confirmer ou de les démentir.
« As-Safir » démenti
À ce sujet, le bureau de presse du Premier ministre a démenti hier des propos que lui avait attribués le quotidien as-Safir.
Dans son édition de la journée, ce quotidien, citant des personnalités libanaises qui auraient rencontré récemment le Premier ministre, avait affirmé que M. Hariri approuve, dans ses cercles privés, les efforts de la Résistance pour se doter de moyens pour défendre les frontières et la souveraineté du Liban, y compris en se dotant de missiles Scud, et se montre soucieux de défendre l'intérêt du Liban plus que de plaire aux États-Unis.
Le bureau de presse du président Hariri a souligné que, s'il est vrai effectivement que M. Hariri est attaché « avant tout » à l'intérêt du Liban, les déclarations que lui prête le quotidien as-Safir « sont en totale contradiction avec cet intérêt, dans la mesure où elles tendent à impliquer le Liban dans des tensions régionales dangereuses, dont le président Hariri œuvre à protéger le Liban ».
« Les déclarations attribuées au président Hariri dans as-Safir doivent être tenues pour des rumeurs sans fondement », conclut le bureau de presse du Premier ministre.
Selon cette source, la visite de M. Hariri sera entamée le 24 mai et durera cinq jours.
Le Premier ministre doit également prononcer un discours au Conseil de sécurité de l'ONU, présidé par le Liban durant le mois de mai. Le Liban a été élu membre non permanent du Conseil de sécurité pour la période 2010-2011.
La visite de M. Hariri interviendra au moment où la tension a été ravivée par les affirmations israéliennes selon lesquelles la Syrie aurait fourni des missiles Scud au Hezbollah. Selon l'État hébreu, ce parti possède plus de 40 000 roquettes dont certaines capables d'atteindre les grandes villes d'Israël.
Washington a ensuite accusé l'Iran et la Syrie de fournir au Hezbollah roquettes et missiles « aux capacités de plus en plus importantes » sans parler spécifiquement de Scud.
La Syrie a démenti ces accusations, tandis que le Hezbollah a refusé de les confirmer ou de les démentir.
« As-Safir » démenti
À ce sujet, le bureau de presse du Premier ministre a démenti hier des propos que lui avait attribués le quotidien as-Safir.
Dans son édition de la journée, ce quotidien, citant des personnalités libanaises qui auraient rencontré récemment le Premier ministre, avait affirmé que M. Hariri approuve, dans ses cercles privés, les efforts de la Résistance pour se doter de moyens pour défendre les frontières et la souveraineté du Liban, y compris en se dotant de missiles Scud, et se montre soucieux de défendre l'intérêt du Liban plus que de plaire aux États-Unis.
Le bureau de presse du président Hariri a souligné que, s'il est vrai effectivement que M. Hariri est attaché « avant tout » à l'intérêt du Liban, les déclarations que lui prête le quotidien as-Safir « sont en totale contradiction avec cet intérêt, dans la mesure où elles tendent à impliquer le Liban dans des tensions régionales dangereuses, dont le président Hariri œuvre à protéger le Liban ».
« Les déclarations attribuées au président Hariri dans as-Safir doivent être tenues pour des rumeurs sans fondement », conclut le bureau de presse du Premier ministre.
Le Premier ministre, Saad Hariri, doit effectuer fin mai sa première visite officielle aux États-Unis, où il rencontrera le président Barack Obama, a-t-on appris de source gouvernementale, hier.Selon cette source, la visite de M. Hariri sera entamée le 24 mai et durera cinq jours.Le Premier ministre doit également prononcer un discours au Conseil de...
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