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Liban

Ils ont dit...

- Le bureau politique Kataëb, dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion hebdomadaire : « Les développements dans le secteur de Ras Baalbeck font partie d'un tout plus global, consistant à entraîner le Liban dans le conflit en Syrie. Les Kataëb réitèrent leur appel à un contrôle strict des points de passage et à une attitude plus sévère face au flux des personnes. Il faut concentrer les combats dans un périmètre fermé et décréter la bande frontalière orientale zone militaire, tout en hâtant la mise en œuvre du plan de sécurité pour la Békaa-Nord ».

- Nawaf Moussaoui, député de Tyr (Hezbollah), lors d'une cérémonie funèbre au Liban-Sud : « La responsabilité nationale nous impose à tous, quelle que soit la position dans laquelle nous nous trouvons, de nous ranger aux côtés de l'armée et de la résistance dans la guerre qui est déclarée contre eux deux par les deux ennemis sioniste et takfiriste. Le Liban ne supporte plus des divisions qui l'affaiblissent. »

- Hani Kobeissi, député de Beyrouth et membre du bloc berryste, dans une allocution au Liban-Sud : « L'armée est prise pour cible parce qu'elle est l'alliée de la résistance et parce que nous croyons dans le slogan armée-peuple-résistance face à l'ennemi sioniste. »

- Le bloc des députés de Zahlé, dans un communiqué : « Le bloc appelle le gouvernement à prodiguer une aide financière urgente à l'armée afin de lui permettre de consolider ses positions sur le plan logistique sur les hauteurs et dans les vallées et à presser la communauté internationale de hâter la livraison d'armes à la troupe. »

- Fayez Chokr, secrétaire du Baas prosyrien : « Jusqu'à quand l'armée va-t-elle rester abandonnée à son sort, sans armes ni munitions ? Comment certaines forces politiques justifient-elles leur rejet des offres d'aide militaire non conditionnées faites par l'Iran alors même que la troupe en a urgemment besoin ? N'y a-t-il pas là soumission au diktat de l'étranger ? Afin d'anéantir le terrorisme, de rétablir le prestige de l'État et de protéger les soldats face aux takfiristes, il faudrait (...) autoriser la troupe à coopérer avec l'armée arabe syrienne parce que toutes les deux font face à un ennemi commun. »

- Le bureau politique Kataëb, dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion hebdomadaire : « Les développements dans le secteur de Ras Baalbeck font partie d'un tout plus global, consistant à entraîner le Liban dans le conflit en Syrie. Les Kataëb réitèrent leur appel à un contrôle strict des points de passage et à une attitude plus sévère face au flux des personnes. Il faut...

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